Le Mothman et "la Prophétie des Ombres"
En avril 2002, Mark Pellington réalisa la Prophétie des Ombres, inspirée de la légende du Mothman et des évènements de Point Pleasant.
Synopsis du Film
Le 5 septembre, à Washington DC, avant de mourir, la femme du journaliste John Klein raconte à son mari avoir vu une silhouette étrange.
Le 12 novembre, à Point Pleasant, en Virginie, ce dernier s'aperçoit, après enquête, que plusieurs personnes de cette petite ville ont été témoins de la même apparition... et que toutes sont décédées. "Créature étrange", "regard glaçant", "grandes ailes", ces indications semblent décrire un spectre diabolique que seules les personnes qui vont mourir aperçoivent.
Le 28 novembre, à Denver, dans le Colorado, la silhouette apparaît et 99 personnes périssent.
Le 10 décembre, à Point Pleasant, la silhouette de mauvaise augure se manifeste à nouveau... Annonce-t-elle une catastrophe ? La psychose commence.
dimanche 5 février 2012
samedi 4 février 2012
Le Mothman ou Homme papillon...
Le Mothman est peut-être une des créatures les plus étranges jamais connu en Amérique. Quoique ce cas mystérieux et non résolu semble bien intéresser les gens depuis fort longtemps, cette créature qu'on nomme The Mothman ressemblerait à un homme papillon. Yeux rouges, plus grand qu'un humain, grandes ailes de papillons et ressemblant étrangement à un hibou...
On retrouve la trace d'un de ces êtres fabuleux dans une parution du "New York Sun" du 18 septembre 1877, où il est fait état d'une curieuse créature d'aspect humain mais avec des ailes de... chauve-souris ! On pourrai sourire en pensant à Batman, mais il fut observé à New York, plus particulièrement dans le quartier de Brooklyn, durant une période allant de 1877 à 1880.
En 1969, Earl Morisson et deux autres marines en pleine guerre du Viêt-nam distinguent dans le ciel, un point lumineux se dirigeant dans leur direction. Bientôt, la chose est suffisamment proche pour leur permettre de distinguer deux gigantesques ailes de chauve-souris dont le porteur est une femme nue! La créature était entièrement noire, mais entourée d'un halo de lumière verte qui lui donnait un aspect encore plus fantastique. Les trois marines purent remarquer que ses bras et ses mains faisaient partie intégrante des ailes.
Le cas de Point Pleasant...
En 1966, cette créature sema la terreur parmi la population de Point Pleasant ( Virginie ). Sa première apparition semble remonter à la nuit du 15 novembre, près d'une usine abandonnée de T.N.T. Cette nuit là, les époux Scarberry et Mallette ont aperçut une créature sortant de de l'ordinaire se déplaçant vers la porte de l'usine, ils ont paniqués et se sont enfuits. Un moment plus tard, ils ont vu la même créature sur une petite colline près de la route. Circulant alors dans leur voiture, ils furent poursuivis par ce qui semblait être un humanoïde de couleur grise, ayant des ailes de chauve-souris de 3 mètres d'envergure et des yeux rouges étincelants à hauteur des épaules. Cette vision cauchemardesque, dont Madame Mallette se souvient qu'elle émettait des cris de souris, les suivit durant un moment, malgré tous les efforts de Roger Scarberry pour la semer ( le compteur de sa voiture indiquait 160 km/h ). Cet "oiseau" a conservé bien sa vitesse avec nous, " a dit un des époux. Ils ce sont rendu au shérif adjoint Millard Harlstead... Plusieurs autres personnes revirent le Mothman par la suite, et jusqu'au mois de décembre, la police locale dut répondre à un nombre considérable d'appels alarmants.
Un autre témoin à rencontré l'homme chauve-souris au cours de cette même nuit. Un certain Mr. Newell Partridge, qui habitait dans les faubourgs de Salem, dans l'ouest de la Virginie (à 135 kilomètres de Point Pleasant !), regardait la télévision, lorsque l'écran devint subitement noir, accompagné d'un fort sifflement plaintif se prolongeant vers l'aigu pour finalement s'arrêter brusquement... Le chien de Mr. Partridge se mit à hurler à la mort, et continua, même lorsque la télévision fut éteinte. Partridge sortit et vit son chien regarder en direction de la grange à quelque 150 mètres de sa maison ; il dirigea le faisceau d'une lampe-torche dans cette direction et vit « deux cercles rouges, ou des yeux, qui ressemblaient à des réflecteurs de bicyclette. Le chien courut à la poursuite de la créature ; Partridge le rappela, mais sans succès. Mr. Partridge alla alors chercher son fusil, mais il était tellement affecté par les « yeux » qu'il avait vus qu'il décida qu'il était plus sage de rester à l'intérieur de la maison! Il garda son fusil à portée de main pendant toute la nuit. Au matin, le chien n'avait toujours pas réparu, et ce n'est que deux jours plus tard que Partridge lut le rapport fait par les deux couples qui avaient vu la créature.
Le compte rendu fait par l'un des témoins disaient qu'alors qu'ils se trouvaient à la limite de la ville de Point Pleasant, ils avaient vu le corps d'un grand chien sur un côté de la route et quelques minutes plus tard, alors qu'ils quittaient l'endroit, le chien avait disparu. Mr. Partridge fit immédiatement le rapprochement entre ce corps et la disparition de son chien. Il ne revit plus jamais son animal! Le 16 novembre une conférence de presse fut tenue dans le tribunal du comté. durant celui-ci, les époux ayant aperçut la créature près de l'usine de TNT ont répété leur histoire. Le député Halstead qui avait déjà rencontré les époux avant, pris très sérieusement leur histoire. Des enquêteurs en charge de l'affaire dire qu'ils n'avaient aucune raison de douter de leurs dépositions, devant la cohérence et la concordance des témoignages. Le Mothman est devenu dès lors une sorte de légende...
Un autre phénomène étrange survint alors que l'assistant du shérif qui s'occupait de l'enquête suite au rapport des deux couples se rendit à la manufacture de dynamite. Il y eut des interférences sur les ondes de la radio qui se trouvait dans la voiture. L'assistant décrivit par la suite un son puissant et ressemblant au bruit que fait une cassette-audio passée à grande vitesse. Le son était si fort qu'il avait dû éteindre sa radio. A partir de ce moment et jusqau mois de novembre 1967, il y eut de nombreux rapports de personnes ayant vu l'homme-hibou. L'un de ces rapports décrit l'homme ailé comme quelque chose qui s'est lentement élevé du sol : « une grande chose grise, plus grande qu'un homme », et qui n'avait pas de tête ! Mais elle ayant deux grands cercles rougeoyants en haut du torse. D'après John Keel, au moins cent personnes ont vu la créature et de l'ensemble des rapports il a tiré la description générale suivante: la créature mesurait entre 1m50 et 2m10, était plus large qu'un homme normal, et marchait difficilement, sur des jambes comme en ont les humains, en traînant les pieds. Elle produisait un son grinçant et les yeux étaient situés au niveau du sommet des épaules. Ses ailes étaient semblables à celles d'une chauve-souris mais elles ne battaient pas quand elle volait. Lorsqu'elle décollait du sol, elle montait tout droit, comme un hélicoptère. La couleur de sa peau était grise ou brune, et deux témoins ont dit qu'ils avaient entendu comme un « ronflement mécanique » alors qu'elle volait au-dessus d'eux..
Le 16 novembre, la famille de Ralph Thomas habitant de cette même région, ont repérés une drôle de lumière rouge dans le ciel qui s'est déplacé et a plané au-dessus de l'usine de TNT. "Ce n'était pas un avion" a dit Mme Marcella Bennett (une amie de la famille de Thomas) mais nous ignorons ce que c'était. Mme Bennett s'est rendu à la maison de Thomas quelques minutes plus tard et est sortie de la voiture avec son bébé. Soudainement, une figure a remué près de l'automobile. Elle s'est rappeler plus tard que la créature semblait couché. La créature a ensuite monté vers le haut lentement, au dessus de la terre. Une grande chose grise. Plus grand qu'un homme avec des yeux rougeoyants terribles. Mme Bennett en fut tellement horrifiée qu'elle en lâchât sa petite fille! Elle la récupérât rapidement, puis allât en courant dans la maison des Thomas. La famille a verrouillé chaque porte mais l'hystérie les a saisis. La police a été appelée, mais le Mothman avait disparu avant que les autorités n'arrivent...
Pendant presque un an, les choses étranges ont continué dans la zone. Les chercheurs, les enquêteurs et les chasseurs de monstres s'y sont succédés, mais aucun d'aussi célèbre que John Keel l'auteur et spécialiste du Mothman et d'autres anomalies non expliquées. John est devenu le chroniqueur principal du cas du Mothman durant cette période, et a écrit qu'au moins 100 personnes furent témoins direct de la créature entre novembre 1966 et novembre 1967.
John Keel est arrivé à Point Pleasant en décembre 1966 et a immédiatement commencé la recherche des rapports d'observations du "Mothman" et il fît de même pour les rapports d'ovnis datant d'avant l'arrivée de la créature, qui avait été observée. Il a également réunit des preuves qui suggère un problème avec des téléviseurs et des téléphones qui ont commencé à l'automne 1966. Des lumières avaient été vues dans le ciel, en particulier autour de l'usine de TNT, et les voitures qui passaient sur la route à proximité, se retrouvait avec leur moteur, ne fonctionnant plus sans explication. Keel et les autres chercheurs ont également découvert un certain nombre de cas vécu de manifestations surnaturelles, comme lors des phénomènes de "hantise", dans la région de la vallée de l'Ohio. Des portes verrouillées s'ouvraient et se fermaient d'elles mêmes, des "coups de poing" étranges ont été entendus, aussi bien à l'intérieur, qu'à l'extérieur des maisons et souvent, des voix ont été entendues, dont la provenance était inexpliqué. La famille de James Lilley, qui vivait juste au sud de l'usine de TNT, a été si gênée par les événements bizarres qu'elle a finalement vendu la maison et a déménagée dans un autre quartier.
La rencontre avec le Mothman ne serait elle pas annonciatrice d'un évènement tragique ?
La catastroophe du Silver Bridge
A cette époque, la plupart des observations semblaient avoir pris fin et le "Mothman" avait disparu dans la zone de l'usine de TNT, où on avait commencé à le voir. Mais l'histoire de Point Pleasant ne s'arrête pas là. Aux environs de 17 heures, dans la soirée du 15 décembre 1967, le pont de 700 mètres de long, le "Silver Bridge", reliant Point Pleasant à l'Ohio s'est effondré soudainement, rempli de nombreuses voitures, dût à "l'heure de pointe" de la circulation. Des dizaines de véhicules se retrouvèrent plongés dans les eaux sombres de la rivière Ohio et 46 personnes ont été tuées. Deux d'entres-elles n'ont jamais étaient retrouvées et les 44 autres ont été enterrés dans le cimetière de la ville de Gallipolis, dans l'Ohio.
Au cours de cette même nuit tragique, la famille de James Lilley (qui vivait encore près de l'usine de TNT à l'époque) a dénombré plus de 12 lumières étranges qui brillaient au-dessus de leur maison, puis disparurent au-dessus de la forêt.
L'effondrement du Silver Bridge fît la une dans tout le pays. Les journalistes et les équipes de télévision de tous les Etats-Unis arrivèrent à Point Pleasant. Pour les habitants, la tragédie restera dans leur mémoire et son souvenir se fait encore sentir aujourd'hui.
Plusieurs personnes auraient vue deux points lumineux rouge dans le ciel. Depuis cette incident, aucun signe de la créature ne fut signalé.
Il faut signaler aussi que le "Mothman" a été aperçu à plusieurs reprises, dans d'autres villes des Etats-Unis (en 1948 et 1952) et aussi dans d'autres pays (comme au Royaume-Uni, dans le kent en 1963). C'est toujours un peu la même chose, les observations durent un moment, accompagnés de phénomènes inexpliqués, puis au bout d'un certain temps, elles cessent tout un coup.
Le mystère reste entier...
On retrouve la trace d'un de ces êtres fabuleux dans une parution du "New York Sun" du 18 septembre 1877, où il est fait état d'une curieuse créature d'aspect humain mais avec des ailes de... chauve-souris ! On pourrai sourire en pensant à Batman, mais il fut observé à New York, plus particulièrement dans le quartier de Brooklyn, durant une période allant de 1877 à 1880.
En 1969, Earl Morisson et deux autres marines en pleine guerre du Viêt-nam distinguent dans le ciel, un point lumineux se dirigeant dans leur direction. Bientôt, la chose est suffisamment proche pour leur permettre de distinguer deux gigantesques ailes de chauve-souris dont le porteur est une femme nue! La créature était entièrement noire, mais entourée d'un halo de lumière verte qui lui donnait un aspect encore plus fantastique. Les trois marines purent remarquer que ses bras et ses mains faisaient partie intégrante des ailes.
Le cas de Point Pleasant...
En 1966, cette créature sema la terreur parmi la population de Point Pleasant ( Virginie ). Sa première apparition semble remonter à la nuit du 15 novembre, près d'une usine abandonnée de T.N.T. Cette nuit là, les époux Scarberry et Mallette ont aperçut une créature sortant de de l'ordinaire se déplaçant vers la porte de l'usine, ils ont paniqués et se sont enfuits. Un moment plus tard, ils ont vu la même créature sur une petite colline près de la route. Circulant alors dans leur voiture, ils furent poursuivis par ce qui semblait être un humanoïde de couleur grise, ayant des ailes de chauve-souris de 3 mètres d'envergure et des yeux rouges étincelants à hauteur des épaules. Cette vision cauchemardesque, dont Madame Mallette se souvient qu'elle émettait des cris de souris, les suivit durant un moment, malgré tous les efforts de Roger Scarberry pour la semer ( le compteur de sa voiture indiquait 160 km/h ). Cet "oiseau" a conservé bien sa vitesse avec nous, " a dit un des époux. Ils ce sont rendu au shérif adjoint Millard Harlstead... Plusieurs autres personnes revirent le Mothman par la suite, et jusqu'au mois de décembre, la police locale dut répondre à un nombre considérable d'appels alarmants.
Un autre témoin à rencontré l'homme chauve-souris au cours de cette même nuit. Un certain Mr. Newell Partridge, qui habitait dans les faubourgs de Salem, dans l'ouest de la Virginie (à 135 kilomètres de Point Pleasant !), regardait la télévision, lorsque l'écran devint subitement noir, accompagné d'un fort sifflement plaintif se prolongeant vers l'aigu pour finalement s'arrêter brusquement... Le chien de Mr. Partridge se mit à hurler à la mort, et continua, même lorsque la télévision fut éteinte. Partridge sortit et vit son chien regarder en direction de la grange à quelque 150 mètres de sa maison ; il dirigea le faisceau d'une lampe-torche dans cette direction et vit « deux cercles rouges, ou des yeux, qui ressemblaient à des réflecteurs de bicyclette. Le chien courut à la poursuite de la créature ; Partridge le rappela, mais sans succès. Mr. Partridge alla alors chercher son fusil, mais il était tellement affecté par les « yeux » qu'il avait vus qu'il décida qu'il était plus sage de rester à l'intérieur de la maison! Il garda son fusil à portée de main pendant toute la nuit. Au matin, le chien n'avait toujours pas réparu, et ce n'est que deux jours plus tard que Partridge lut le rapport fait par les deux couples qui avaient vu la créature.
Le compte rendu fait par l'un des témoins disaient qu'alors qu'ils se trouvaient à la limite de la ville de Point Pleasant, ils avaient vu le corps d'un grand chien sur un côté de la route et quelques minutes plus tard, alors qu'ils quittaient l'endroit, le chien avait disparu. Mr. Partridge fit immédiatement le rapprochement entre ce corps et la disparition de son chien. Il ne revit plus jamais son animal! Le 16 novembre une conférence de presse fut tenue dans le tribunal du comté. durant celui-ci, les époux ayant aperçut la créature près de l'usine de TNT ont répété leur histoire. Le député Halstead qui avait déjà rencontré les époux avant, pris très sérieusement leur histoire. Des enquêteurs en charge de l'affaire dire qu'ils n'avaient aucune raison de douter de leurs dépositions, devant la cohérence et la concordance des témoignages. Le Mothman est devenu dès lors une sorte de légende...
Un autre phénomène étrange survint alors que l'assistant du shérif qui s'occupait de l'enquête suite au rapport des deux couples se rendit à la manufacture de dynamite. Il y eut des interférences sur les ondes de la radio qui se trouvait dans la voiture. L'assistant décrivit par la suite un son puissant et ressemblant au bruit que fait une cassette-audio passée à grande vitesse. Le son était si fort qu'il avait dû éteindre sa radio. A partir de ce moment et jusqau mois de novembre 1967, il y eut de nombreux rapports de personnes ayant vu l'homme-hibou. L'un de ces rapports décrit l'homme ailé comme quelque chose qui s'est lentement élevé du sol : « une grande chose grise, plus grande qu'un homme », et qui n'avait pas de tête ! Mais elle ayant deux grands cercles rougeoyants en haut du torse. D'après John Keel, au moins cent personnes ont vu la créature et de l'ensemble des rapports il a tiré la description générale suivante: la créature mesurait entre 1m50 et 2m10, était plus large qu'un homme normal, et marchait difficilement, sur des jambes comme en ont les humains, en traînant les pieds. Elle produisait un son grinçant et les yeux étaient situés au niveau du sommet des épaules. Ses ailes étaient semblables à celles d'une chauve-souris mais elles ne battaient pas quand elle volait. Lorsqu'elle décollait du sol, elle montait tout droit, comme un hélicoptère. La couleur de sa peau était grise ou brune, et deux témoins ont dit qu'ils avaient entendu comme un « ronflement mécanique » alors qu'elle volait au-dessus d'eux..
Le 16 novembre, la famille de Ralph Thomas habitant de cette même région, ont repérés une drôle de lumière rouge dans le ciel qui s'est déplacé et a plané au-dessus de l'usine de TNT. "Ce n'était pas un avion" a dit Mme Marcella Bennett (une amie de la famille de Thomas) mais nous ignorons ce que c'était. Mme Bennett s'est rendu à la maison de Thomas quelques minutes plus tard et est sortie de la voiture avec son bébé. Soudainement, une figure a remué près de l'automobile. Elle s'est rappeler plus tard que la créature semblait couché. La créature a ensuite monté vers le haut lentement, au dessus de la terre. Une grande chose grise. Plus grand qu'un homme avec des yeux rougeoyants terribles. Mme Bennett en fut tellement horrifiée qu'elle en lâchât sa petite fille! Elle la récupérât rapidement, puis allât en courant dans la maison des Thomas. La famille a verrouillé chaque porte mais l'hystérie les a saisis. La police a été appelée, mais le Mothman avait disparu avant que les autorités n'arrivent...
Pendant presque un an, les choses étranges ont continué dans la zone. Les chercheurs, les enquêteurs et les chasseurs de monstres s'y sont succédés, mais aucun d'aussi célèbre que John Keel l'auteur et spécialiste du Mothman et d'autres anomalies non expliquées. John est devenu le chroniqueur principal du cas du Mothman durant cette période, et a écrit qu'au moins 100 personnes furent témoins direct de la créature entre novembre 1966 et novembre 1967.
John Keel est arrivé à Point Pleasant en décembre 1966 et a immédiatement commencé la recherche des rapports d'observations du "Mothman" et il fît de même pour les rapports d'ovnis datant d'avant l'arrivée de la créature, qui avait été observée. Il a également réunit des preuves qui suggère un problème avec des téléviseurs et des téléphones qui ont commencé à l'automne 1966. Des lumières avaient été vues dans le ciel, en particulier autour de l'usine de TNT, et les voitures qui passaient sur la route à proximité, se retrouvait avec leur moteur, ne fonctionnant plus sans explication. Keel et les autres chercheurs ont également découvert un certain nombre de cas vécu de manifestations surnaturelles, comme lors des phénomènes de "hantise", dans la région de la vallée de l'Ohio. Des portes verrouillées s'ouvraient et se fermaient d'elles mêmes, des "coups de poing" étranges ont été entendus, aussi bien à l'intérieur, qu'à l'extérieur des maisons et souvent, des voix ont été entendues, dont la provenance était inexpliqué. La famille de James Lilley, qui vivait juste au sud de l'usine de TNT, a été si gênée par les événements bizarres qu'elle a finalement vendu la maison et a déménagée dans un autre quartier.
La rencontre avec le Mothman ne serait elle pas annonciatrice d'un évènement tragique ?
La catastroophe du Silver Bridge
A cette époque, la plupart des observations semblaient avoir pris fin et le "Mothman" avait disparu dans la zone de l'usine de TNT, où on avait commencé à le voir. Mais l'histoire de Point Pleasant ne s'arrête pas là. Aux environs de 17 heures, dans la soirée du 15 décembre 1967, le pont de 700 mètres de long, le "Silver Bridge", reliant Point Pleasant à l'Ohio s'est effondré soudainement, rempli de nombreuses voitures, dût à "l'heure de pointe" de la circulation. Des dizaines de véhicules se retrouvèrent plongés dans les eaux sombres de la rivière Ohio et 46 personnes ont été tuées. Deux d'entres-elles n'ont jamais étaient retrouvées et les 44 autres ont été enterrés dans le cimetière de la ville de Gallipolis, dans l'Ohio.
Au cours de cette même nuit tragique, la famille de James Lilley (qui vivait encore près de l'usine de TNT à l'époque) a dénombré plus de 12 lumières étranges qui brillaient au-dessus de leur maison, puis disparurent au-dessus de la forêt.
L'effondrement du Silver Bridge fît la une dans tout le pays. Les journalistes et les équipes de télévision de tous les Etats-Unis arrivèrent à Point Pleasant. Pour les habitants, la tragédie restera dans leur mémoire et son souvenir se fait encore sentir aujourd'hui.
Plusieurs personnes auraient vue deux points lumineux rouge dans le ciel. Depuis cette incident, aucun signe de la créature ne fut signalé.
Il faut signaler aussi que le "Mothman" a été aperçu à plusieurs reprises, dans d'autres villes des Etats-Unis (en 1948 et 1952) et aussi dans d'autres pays (comme au Royaume-Uni, dans le kent en 1963). C'est toujours un peu la même chose, les observations durent un moment, accompagnés de phénomènes inexpliqués, puis au bout d'un certain temps, elles cessent tout un coup.
Le mystère reste entier...
vendredi 3 février 2012
Le Diable de Jersey
C'est en 1735 que l'histoire de cette créature débute, Jane Leeds était considérée comme une sorcière dans la colonie britannique du New Jersey.
Cette dernière aurait fait un pacte avec le diable, lors de l'accouchement terriblement douloureux de son 13ème enfant : "Assez de cette douleur, que le diable emporte celui-ci!"
Lorsque l'enfant parut, il semblait tout à fait normal ; et les femmes du village qui avaient entendu murmurer ces mots eurent un soupir de soulagement. Mais celui-ci fut de courte durée car le bébé se transforma au fil du temps en un démon ailé, moitié homme et moitié animal, qui se sauva dans les bois environnants. Le Diable du Jersey était né...
Leeds Point, c'est le lieu exact où la famille s'installa dans le New Jersey ; depuis plus de 300 ans, les histoires du Jersey Devil se murmurent dans les chaumières...
À sa naissance, le Diable du Jersey aurait dévoré deux de ses frères et sœurs. Certains disent que le bébé démon fut enfermé dans le grenier, et relâché une fois qu'il pouvait se débrouiller par lui-même, vivant dans "Pine Barrens" (les bois alentour), loin de des Hommes.
Après sa naissance présumée, des animaux ont égorgé et vidé de leur sang, des enfants ont disparu. En 1740, un exorcisme fut réalisé dans les bois, mais son effet n'aurait duré que quelques décennies, et les observations du Diable du Jersey ont recommencé vers 1820.
Près de 300 ans de rumeurs et de témoignages...
C'est à cette époque que le Commandant Stephen Decatur aperçut le diable du Jersey lors l'inspection de l'arsenal de Hanovre Mill Works. En voyant le démon ailé, le Commandant tira au canon sur la Bête, mais le boulet n'eut aucun effet sur la bête.
Joseph Bonaparte, frère aîné de Napoléon Bonaparte, rend également compte d'une rencontre avec la créature lors d'une partie de chasse, à Estate Bordentown.
Au début des années 1900, de nombreuses personnes de la région de New Jersey, ainsi que des États voisins, disent avoir vu le Diable du Jersey.
En 1909, M. et Mme Evans affirment avoir été réveillés par des bruits étranges et avoir observé la créature durant quelques minutes. M. Evans décrit ainsi la créature : " il (le Diable du New Jersey) faisait environ trois pieds et demi de haut, avec une tête de chien et un visage de cheval. Il avait un long cou, des ailes d'environ deux pieds de long, et ses pattes arrière étaient semblables à celles d'une grue, et il avait des sabots du cheval. "
Un cadavre correspondant à la description du Diable de Jersey aurait été retrouvé en 1957.
En 1960, des hommes d'affaires de Camden (New Jersey) ont offert une récompense de 10.000 $ pour sa capture. Tout au long des années 60, des centaines d'observations ont été signalées, et de nombreux animaux auraient disparu.
En 1993, le Ranger John Irwin dit avoir vu le Diable du Jersey : la créature le regarda un moment avant de s'enfuir. Ce fut la dernière observation officielle.
La créature a été vue par plus de 2000 personnes, a causé des fermetures d'usines et d'écoles ; on lui attribue encore aujourd'hui la disparition de nombreux animaux...
Etant donné le manque de preuves, hormis des témoignages oraux, sont existence est soumise à caution par les cryptozoologues.
Le Mystère n'en demeure pas moins...
jeudi 2 février 2012
Focus sur...
Le Chupacabra
A l'origine, c'est en 1960 que le terme de "chubacabra" est utilisé par un fermier dans un épisode de la série Bonanza pour désigner un suceur de lait des chèvres.
Cependant, ce n'est que quinze ans plus tard, en mars 1975, pour que l'on parle d'un autre type de régime alimentaire, au travers du "vampire de Moca" (Porto Rico), donné responsable de la mort de nombreux animaux de ferme retrouvés vidés de leur sang et portant des blessures semblables à des piqûres ou des marques de poignard (on retrouve d'identiques à la même époque dans les cas de mutilations de bétail aux Etat-Unis). On rapporte même que, le 25 mars, un humain aurait été attaqué par une horrible créature recouverte de plumes qui l'aurait forcer à se réfugier derrière des broussailles.
En mars 1991, à Lares (Porto Rico) les habitants signalent la présence d'une créature simiesque. En juin non loin de là, d'autres déprédations animales surviennent, accompagnées de destruction de bananiers, causées par ce que la presse locale surnomme le "comecogolos", un hominoïde velu spécifique à l'île.
Ce n'est qu'à partir de mars 1995 que l'on voit le terme réutilisé : toujours à Porto Rico, 8 moutons sont découverts morts, exsangues. Alors que les enquêteurs n'envisagent qu'une attaque par un prédateur connu, tel un renard, d'autres sont troublés par la découverte de 3 marques étranges de perforation sur la poitrine des animaux, qui leur rappelle des événements de 1991, ou les cas de mutilations animales intervenues quelques décennies plus tôt, aux USA mais aussi à Porto Rico.
Vers la deuxième semaine d'août, à Barrio Campo Rico (Canóvanas, au nord-est de Porto Rico), vers 16h00, Madelyne Tolentino Maldonado aide sa mère a emménager au 1er étage de sa maison, quand elle voit quelqu'un reculer en voiture, apparemment effrayé par quelque chose. Elle aperçoit alors devant chez elle, à travers la fenêtre, une créature sur ses 2 jambes, les "bras" relevés comme prête à l'attaque. Mais sa caractéristique la plus bizarre reste comme une série de "plumes" rougeâtres aplaties sur son dos. Puis Madelyne crie et la créature s'enfuit, bondissant comme un kangourou. La mère de Madelyne essaye d'attraper la créature qui se dirige vers la forêt avec l'aide d'un homme, mais elle leur échappe. Ce dernier dira que ses "plumes" s'étaient redressées comme des pics, qui changèrent de couleur. Un autre jeune homme lança des bouteilles sur la créature.
Jusqu'à 150 animaux de ferme qui ont été tués par un prédateur non identifié, dont le pelage semblait brûlé par endroit, laissant la peau découverte. Dans la plupart des cas, comme les moutons, les animaux sont retrouvés exsangues avec de petites perforations. Parce qu'un certain nombre d'entre eux étaient des chèvres, les habitants commençent à parler de "chupacabra", un terme espagnol désignant un "suceur de chèvres".
Début septembre, vers minuit, toujours à Campo Rico, Jose Collazo un policier, est réveillé par l'alarme de sa voiture. Armé de son pistolet il sort et voit une créature qui semble essayer de mordre son chien. Elle se relève alors, semblant faire dans les 5 pieds de haut, et Collazo, se sentant menacé, tire sur elle. La créature s'enfuit alors. Aucune trace ne sera retrouvée cependant.
Le même jour un autre habitant de Campo Rico, Misael Negrón, voit sur son balcon (au 2ème étage) une créature de 4 et 5 pieds de haut, avec la peau sombre, une tête ronde avec un menton pointu, de grands yeux rouges, pas d'oreilles et ce qui semblait être 2 longs crocs sortant de sa bouche. Elle avait un cou fin, des bras fins avec des mains à 3 doigts et des griffes acérées. Elle avait 2 grandes jambes solides et le long de sa colonne vertébrale ce qui semblait être une crête aiguisée, qui semblait phosphorescente et changer de couleur du vert au bleu, au rouge, orange, vert et violet. La créature semblait inspecter le voisinage depuis le balcon, avant de se voir observée et regarder par la fenêtre avant de partir.
Le lendemain soir, encore à Campo Rico, Angel David Negron rencontre à son tour une créature agenouillée près d'une chèvre mutilée dans un champ derrière chez lui.Celle ci se voyant découverte, sauta et atterrit en face du témoin qui venait de fermer sa fenêtre.Elle s'enfuit rapidement dans un bois tout proche en émettant un puissant grognement et disparue...La chèvre avait apparemment été vidée de son sang et certains organes manquaient.
Une autre vague de massacres commence en février 1996, toujours à Porto Rico. La nuit du samedi 9 mars, 30 poules de Mme Teide Carballo sont tuées par un prédateur. La nuit suivante, ce sont 4 autres poules et 2 chèvres, dont une portait un petit. Carballo dit les avoir tous sont retrouvés exsangues, avec une incision à la gorge, et avoir aperçu une créature bipède par la fenêtre, marchant un peu comme un bossu ou comme un "singe". On envisage alors qu'une population de singes rhésus, utilisés pour des expériences sanguines à l'époque dans la région aurait pu s'échapper.
Un choses est sûre, le mystère plane toujours, et s'épaissit au rythme des apparitions de la créature...
A l'origine, c'est en 1960 que le terme de "chubacabra" est utilisé par un fermier dans un épisode de la série Bonanza pour désigner un suceur de lait des chèvres.
Cependant, ce n'est que quinze ans plus tard, en mars 1975, pour que l'on parle d'un autre type de régime alimentaire, au travers du "vampire de Moca" (Porto Rico), donné responsable de la mort de nombreux animaux de ferme retrouvés vidés de leur sang et portant des blessures semblables à des piqûres ou des marques de poignard (on retrouve d'identiques à la même époque dans les cas de mutilations de bétail aux Etat-Unis). On rapporte même que, le 25 mars, un humain aurait été attaqué par une horrible créature recouverte de plumes qui l'aurait forcer à se réfugier derrière des broussailles.
En mars 1991, à Lares (Porto Rico) les habitants signalent la présence d'une créature simiesque. En juin non loin de là, d'autres déprédations animales surviennent, accompagnées de destruction de bananiers, causées par ce que la presse locale surnomme le "comecogolos", un hominoïde velu spécifique à l'île.
Ce n'est qu'à partir de mars 1995 que l'on voit le terme réutilisé : toujours à Porto Rico, 8 moutons sont découverts morts, exsangues. Alors que les enquêteurs n'envisagent qu'une attaque par un prédateur connu, tel un renard, d'autres sont troublés par la découverte de 3 marques étranges de perforation sur la poitrine des animaux, qui leur rappelle des événements de 1991, ou les cas de mutilations animales intervenues quelques décennies plus tôt, aux USA mais aussi à Porto Rico.
Vers la deuxième semaine d'août, à Barrio Campo Rico (Canóvanas, au nord-est de Porto Rico), vers 16h00, Madelyne Tolentino Maldonado aide sa mère a emménager au 1er étage de sa maison, quand elle voit quelqu'un reculer en voiture, apparemment effrayé par quelque chose. Elle aperçoit alors devant chez elle, à travers la fenêtre, une créature sur ses 2 jambes, les "bras" relevés comme prête à l'attaque. Mais sa caractéristique la plus bizarre reste comme une série de "plumes" rougeâtres aplaties sur son dos. Puis Madelyne crie et la créature s'enfuit, bondissant comme un kangourou. La mère de Madelyne essaye d'attraper la créature qui se dirige vers la forêt avec l'aide d'un homme, mais elle leur échappe. Ce dernier dira que ses "plumes" s'étaient redressées comme des pics, qui changèrent de couleur. Un autre jeune homme lança des bouteilles sur la créature.
Jusqu'à 150 animaux de ferme qui ont été tués par un prédateur non identifié, dont le pelage semblait brûlé par endroit, laissant la peau découverte. Dans la plupart des cas, comme les moutons, les animaux sont retrouvés exsangues avec de petites perforations. Parce qu'un certain nombre d'entre eux étaient des chèvres, les habitants commençent à parler de "chupacabra", un terme espagnol désignant un "suceur de chèvres".
Début septembre, vers minuit, toujours à Campo Rico, Jose Collazo un policier, est réveillé par l'alarme de sa voiture. Armé de son pistolet il sort et voit une créature qui semble essayer de mordre son chien. Elle se relève alors, semblant faire dans les 5 pieds de haut, et Collazo, se sentant menacé, tire sur elle. La créature s'enfuit alors. Aucune trace ne sera retrouvée cependant.
Le même jour un autre habitant de Campo Rico, Misael Negrón, voit sur son balcon (au 2ème étage) une créature de 4 et 5 pieds de haut, avec la peau sombre, une tête ronde avec un menton pointu, de grands yeux rouges, pas d'oreilles et ce qui semblait être 2 longs crocs sortant de sa bouche. Elle avait un cou fin, des bras fins avec des mains à 3 doigts et des griffes acérées. Elle avait 2 grandes jambes solides et le long de sa colonne vertébrale ce qui semblait être une crête aiguisée, qui semblait phosphorescente et changer de couleur du vert au bleu, au rouge, orange, vert et violet. La créature semblait inspecter le voisinage depuis le balcon, avant de se voir observée et regarder par la fenêtre avant de partir.
Le lendemain soir, encore à Campo Rico, Angel David Negron rencontre à son tour une créature agenouillée près d'une chèvre mutilée dans un champ derrière chez lui.Celle ci se voyant découverte, sauta et atterrit en face du témoin qui venait de fermer sa fenêtre.Elle s'enfuit rapidement dans un bois tout proche en émettant un puissant grognement et disparue...La chèvre avait apparemment été vidée de son sang et certains organes manquaient.
Une autre vague de massacres commence en février 1996, toujours à Porto Rico. La nuit du samedi 9 mars, 30 poules de Mme Teide Carballo sont tuées par un prédateur. La nuit suivante, ce sont 4 autres poules et 2 chèvres, dont une portait un petit. Carballo dit les avoir tous sont retrouvés exsangues, avec une incision à la gorge, et avoir aperçu une créature bipède par la fenêtre, marchant un peu comme un bossu ou comme un "singe". On envisage alors qu'une population de singes rhésus, utilisés pour des expériences sanguines à l'époque dans la région aurait pu s'échapper.
Un choses est sûre, le mystère plane toujours, et s'épaissit au rythme des apparitions de la créature...
jeudi 26 janvier 2012
Nessie et ses cousins...
Le Monstre du Loch Ness
Aperçu pour la première fois en l'an 560, le monstre du Loch Ness (appelé Nessie) est aujourd'hui connu dans le monde entier. Pourtant, l'engouement pour ce phénomène est assez récent puisqu'il n'a été dévoilé au grand public que dans les années 1933-1934. Cependant, on signale aussi des apparitions en d'autres pays, donnant lieu à de nombreuses recherches. Malgré de nombreuses pistes plus ou moins sérieuses, l'existence de ce monstre lacustre reste encore un mystère...
Historique rapide :
Bien que la relation de l'existence de cette créature date du Moyen Age, personne n'est en mesure de dire si Nessie est bien réel et s'il s'agit bien d'un animal inconnu. Dès le XIXe siècle, l'existence de quelque chose au fond du lac était connue, les parents interdisant aux enfants de se baigner dans le loch par crainte du Kelpie (esprit malin à tête de cheval rodant dans les lacs).
En 1934, le journaliste Rupert Gould avance l'hypothèse qu'il s'agirait d'un spécimen isolé prisonnier du lac, mais certains témoignages font état de la présence de plusieurs monstres en même temps.
Depuis le XXe siècle, bien que de nombreuses observations de témoins soient rapportées, les multiples recherches scientifiques effectuées (Pisces en 1969, Yellow Submarine en 1972 et enfin Deepscan en 1987) n'ont jamais donné de résultats, tout au plus quelques échos sur des sonars, la plupart du temps peu convaincants, sauf en de rares occasions (en 1972, leurs sonars repèrent des objets animés de dix à douze mètres de long, durant plusieurs minutes, près de La Baie d'Urquhart). Cependant, curieusement, des sonars plus perfectionnés ne donnèrent aucun résultat. Récemment, des constructions d'origine humaine auraient été découvertes au fond du lac. Il faut cependant savoir que d'autres monstres du même genre ont été observés en différents endroits du globe (Chine, Afrique, Amérique). Ils ont eux aussi fait l'objet de nombreuses recherches qui n'ont, elles non plus, pu prouver qu'il existait bien un animal inconnu dans ces environs. Cependant, chaque année de nouvelles recherches ont lieu avec du matériel de plus en plus sophistiqué.
Pour en revenir au Loch Ness, la dernière observation a permis de repérer de mystérieux grognements sous la surface du lac. Même si aucune image de Nessie n'a pu être prise...
La Créature de Bowness-on-Windermere
une étrange créature de "type" Nessie a été photographiée près de Bowness-on-Windermere (Royaume-Unis)confirmant dans une certaine mesure la validité de vues précédentes de celui qu'on a surnommé Bownessie ou la Bête de Bowness.
Dernier témoignage en date, celui d'un couple faisant du kayak sur le lac Windermere, lorsqu'ils ont vu la créature.
Cette photographie a été faite par l'un des témoins à l'aide de son téléphone portable...D'après ce même témoin la créature était longue comme trois voitures...
Les cousins d'outre-Atlantique :
Le Cadborosaurus
Au Canada, au large de la Colombie-Britannique vit une espèce de serpent de mer, Cadborosaurus (ou Caddy pour les intimes). Quoique plusieurs observations aient été faites en haute mer, la majorité des témoignages provient du passage Juan de Fuca, un bras de mer qui mène vers le port de Seattle.
Cette créature atypique (ce cryptide aurait un long corps serpentiforme d'environ 10 à 20 mètres de long, et une tête pourvue d'une crinière semblable à celle d'un cheval), est signalée depuis 2 siècles et a même été aperçu par le fameux Capitaine Cook en 1778.
Certaines tribus indiennes Chinook de Colombie Britannique, considérés comme les plus anciens observateurs l'ont surnommés Hiachuckaluck.
En 1937, à Naden Harbour, situé dans une baie d’une des îles de la Reine-Charlotte, des pêcheurs découvrent dans le ventre d'un cachalot le corps à moitié d'une créature marine inconnue. Les pêcheurs n'ont pas conservé la carcasse en mauvais état mais ont conclus que ce n'était pas celle d'un requin ou d'un grand poisson en décomposition. Depuis, plus de 200 observations ont étés recensées, certaines émanant de policiers ou de médecins, d'autres de touristes ou d'autochtones.
Ogopogo, la créature du Lac Okanagan
Ogopogo est le nom du célèbre monstre du lac Okanagan, le plus grand lac de la Colombie-Britannique. Ce monstre, connu comme le Nessie d’Amérique du Nord, est le doyen des monstres lacustres en Amérique du Nord.
Bien avant l’arrivée des Européens, les Amérindiens savaient que dans les profondeurs du lac Okanagan habite une terrible créature et leurs légendes en faisaient mention. Les premiers témoignages européens sur le monstre remontent à 1850.
En juillet 1890, Thomas Shorts, capitaine du vapeur Jubila, aperçut la grande créature d’au moins 5 mètres, au large de Squally Point. Le monstre avait une énorme tête de bélier, le brave capitaine tenta de capturer le monstre, mais celui-ci s’échappa.
D’autres rencontres suivirent. Les journaux en parlent à profusion. Plusieurs expéditions furent organisées pour capturer le serpent géant, mais sans aucun succès.
En 1949, M. Leslie Kerry et la famille Watson se promenaient dans un bateau, quand leur embarcation fut attaquée par une créature à la forme reptilienne de neuf mètres de long et avec une queue fourchue!
Les vacanciers en réchappent par miracle. D’autres familles qui pique-niquaient sur les rives, ont vu la scène et ont remarqué que le monstre était noir et avait la peau lisse.
En 1959, M. Dick Miller, rédacteur d’une revue très sérieuse et respectable, Vernon Advertiser, faisait une croisière sur le lac en compagnie de sa femme et d’un couple d’amis. À un moment donné, le groupe aperçoit, à environ 75 mètres dans leur sillage, ce qui paraissait être un serpent. La créature avançait vite. Sa tête était à environ 25 centimètres au-dessus de l’eau. Le monstre avait un museau court et cinq bosses. Sa couleur a semblé proche d’un vert très foncé. Dérangée par le bruit du moteur, la créature baissa la tête et s’enfonça peu à peu sous l’eau. Naturellement, la revue a publié le rapport. Le tirage fut épuisé en 10 minutes et on dut réimprimer la publication qui s’est vendue jusqu’à Toronto et aux États-Unis.
En 1968, Ogopogo a essayé d’attraper un groupe de jeunes skieurs nautiques. Miraculeusement, ils se sauvent, eux aussi. La même année, un film a été tourné par M. Art Folden qui a réussi à surprendre le monstre. Son film fit sensation dans le monde. On y voit nettement une créature d’environ 20 mètres de long (notez que la créature est plus grosse à chaque nouvelle apparition, mais il faut bien reconnaître qu’elle semble avoir bon appétit).
Le 3 août 1976, M. Ed Fletcher, de Vancouver prend cinq photos du monstre. On n’y voit presque rien, en raison de la grande distance entre le photographe et l’objet, mais avec un peu d’imagination, on y distingue notre cher Ogopogo.
Des statues d’Ogopogo ont été érigées à plusieurs endroits autour du lac. Nul doute, ces œuvres d’art ont l’objectif pratique de permettre aux habitants et aux touristes de se familiariser avec l’image d’Ogopogo. De cette façon, ils pourront mieux l’identifier le moment venu.
Le nom du monstre marin, Ogopogo, est un palindrome repris du titre de la chanson humoristique anglaise des années 1920 de William Brimblecombe intitulée Ogopogo Song.
Le Mokele-Mbêmbe
En 1776, l'abbé Lievan Bonaventure Proyarte rapporte dans son livre "Histoire du Loango, du Kakonga, et d'autres royaumes d'Afrique", qu'un groupe de missionnaires français avait trouvé dans la forêt, les traces d'un énorme animal inconnu.
Pour vérifier les dires des populations locales, certains savants ont montré aux Pygmées des ouvrages paléontologiques représentant des dinosaures (il faut rappeler que les Pygmées ne connaissent pas l'existence des dinosaures). D'après les témoignages, les scientifiques s'accordent à dire qu'il ne s'agit pas d'un théropode (famille du tyrannosaure) mais d'un sauropode de la famille des brontosaures, animaux gigantesques au long cou qui vivaient à l'ère secondaire, qui sont censés avoir disparus il y a 65 millions d'années.
En 1913-1914, le baron Von Stein zu Lausnitz entendit parler d'une étrange créature dans le Cameroun allemand de l'époque (aujourd'hui le nord du Congo Brazzaville), appelée Mokele-Mbêmbe :
En 1924, le naturaliste anglais John G. Millais recueillit un rapport semblable, datant de la fin du dix-neuvième siècle, sur l'isiququmadevu du sud-ouest de la Zambie actuelle.
En 1977, Daniel Mambombo, professeur d'école à Epéna (nord du Congo), vit surgir de la Likouala-aux-Herbes un étrange animal. Il identifia spontanément avec une représentation de brontosaure tirée d'un ouvrage sur la préhistoire que lui montra l'herpétologiste américain James Powell.
Un autre élément, (c'est d'ailleurs celui-ci qui est le plus pris en compte) est le témoignage en 1983 du zoologiste congolais Marcellin Agnagna. Il affirme avoir vu le Mokele-Mbêmbe dans le lac Tele, à une distance de 250 mètres pendant 20 minutes.
On a très peu entendu parler du Mokele-Mbêmbe avant 1976, année où James Powell, un herpétologiste du Texas, a fait un voyage au Gabon pour étudier les crocodiles qui vivent dans les forêts tropicales. Powell a recueilli des récits du peuple Fang à propos d'un énorme monstre de rivière nommé N'yamala, et un sorcier local du nom de Michael Obang a reconnu dans la photo d'un diplodocus d'un livre de dinosaures le N'yamala qu'il a vu sortir d'un étang de la jungle en 1946. Plus tard, Powel fit part de cette information à Roy P. Mackal, biologiste à l'université de Chicago et vice-président de la société internationale de cryptozoologie. En 1979, Mackal et Powell se sont rendus dans la République du Congo pour étudier le Mokele-Mbêmbe, qui, selon Mackal serait surtout présent dans la région de Likouala, un énorme marais inondé de façon saisonnière et non indiqué sur la plupart des cartes.
Dans un village du nord, nommé Impgondo, situé près de la rivière Oubangui, Mackal et Powell rencontrèrent le pasteur Eugène Thomas de l'Ohio, un missionnaire qui travaillait au Congo depuis 1955. Le pasteur Thomas avait entendu plusieurs récits à propos du Mokele-Mbêmbe, et il a fait venir les témoins qui avaient vu le monstre. Au début, Mackal était réticent à croire qu'il était sur la piste d'un dinosaure vivant. Cependant, chaque témoin était absolument certain que les illustrations de l'apatasaurus et du diplodocus du livre de Mackal sur les dinosaures correspondaient au Mokele-Mbêmbe. Selon Mackal :
"Les témoins décrivirent des animaux mesurant de 15 à 30 pieds; ils parlèrent surtout de la tête, du cou et de la queue. La tête ressemblait à celle d'un serpent, il avait une longue queue étroite et un corps approximativement de la taille d'un éléphant ou au moins de celle d'un hippopotame. Ses pattes étaient courtes, et celles de derrière étaient munies de trois griffes. Les animaux étaient de couleur brun rougeâtre et avaient une crête ressemblant à celle d'un coq, qui partait du dessus de la tête et qui se rendait jusqu'au bas du cou."
Depuis le début du vingtième siècle, on signale au coeur de l'Afrique tropicale un animal décrit ainsi : une petite tête comparée à celle d'un serpent, un long cou comme celui d'un serpent, un corps de la taille d'un éléphant de forêt ou d'un hippopotame, quatre pattes comme des piliers et une queue comparée à celle d'un serpent ou d'un crocodile. La longueur totale est de 8 à 10 mètres.
L'animal, appelé Mokele-Mbêmbe dans le nord du Congo, et nyamala au Gabon, est réputé dangereux par sa force (il peut renverser une pirogue d'un coup de queue), mais exclusivement herbivore : les témoins (notamment des Pygmées dont certains n'avaient encore jamais vu d'Occidental) montrent au Congo comme au Gabon le végétal qu'affectionne l'animal, le malombo (Landolphia). L'animal habite dans la forêt tropicale humide et semble de moeurs plus ou moins aquatique.
Certains scientifiques ont émis l'hypothèse que le Mokele-Mbêmbe, sans être un dinosaure, pourrait être une espèce inconnue de gros lézards, tels les varans. Le plus grand varan vivant est le dragon de Komodo, qui vit en Indonésie et mesure 3 à 4 mètres de long ; pourrait-il en exister une espèce encore plus grande dans les marécages du Likouala ?
Le Mystère demeure...
Aperçu pour la première fois en l'an 560, le monstre du Loch Ness (appelé Nessie) est aujourd'hui connu dans le monde entier. Pourtant, l'engouement pour ce phénomène est assez récent puisqu'il n'a été dévoilé au grand public que dans les années 1933-1934. Cependant, on signale aussi des apparitions en d'autres pays, donnant lieu à de nombreuses recherches. Malgré de nombreuses pistes plus ou moins sérieuses, l'existence de ce monstre lacustre reste encore un mystère...
Historique rapide :
Bien que la relation de l'existence de cette créature date du Moyen Age, personne n'est en mesure de dire si Nessie est bien réel et s'il s'agit bien d'un animal inconnu. Dès le XIXe siècle, l'existence de quelque chose au fond du lac était connue, les parents interdisant aux enfants de se baigner dans le loch par crainte du Kelpie (esprit malin à tête de cheval rodant dans les lacs).
En 1934, le journaliste Rupert Gould avance l'hypothèse qu'il s'agirait d'un spécimen isolé prisonnier du lac, mais certains témoignages font état de la présence de plusieurs monstres en même temps.
Depuis le XXe siècle, bien que de nombreuses observations de témoins soient rapportées, les multiples recherches scientifiques effectuées (Pisces en 1969, Yellow Submarine en 1972 et enfin Deepscan en 1987) n'ont jamais donné de résultats, tout au plus quelques échos sur des sonars, la plupart du temps peu convaincants, sauf en de rares occasions (en 1972, leurs sonars repèrent des objets animés de dix à douze mètres de long, durant plusieurs minutes, près de La Baie d'Urquhart). Cependant, curieusement, des sonars plus perfectionnés ne donnèrent aucun résultat. Récemment, des constructions d'origine humaine auraient été découvertes au fond du lac. Il faut cependant savoir que d'autres monstres du même genre ont été observés en différents endroits du globe (Chine, Afrique, Amérique). Ils ont eux aussi fait l'objet de nombreuses recherches qui n'ont, elles non plus, pu prouver qu'il existait bien un animal inconnu dans ces environs. Cependant, chaque année de nouvelles recherches ont lieu avec du matériel de plus en plus sophistiqué.
Pour en revenir au Loch Ness, la dernière observation a permis de repérer de mystérieux grognements sous la surface du lac. Même si aucune image de Nessie n'a pu être prise...
La Créature de Bowness-on-Windermere
une étrange créature de "type" Nessie a été photographiée près de Bowness-on-Windermere (Royaume-Unis)confirmant dans une certaine mesure la validité de vues précédentes de celui qu'on a surnommé Bownessie ou la Bête de Bowness.
Dernier témoignage en date, celui d'un couple faisant du kayak sur le lac Windermere, lorsqu'ils ont vu la créature.
Cette photographie a été faite par l'un des témoins à l'aide de son téléphone portable...D'après ce même témoin la créature était longue comme trois voitures...
Les cousins d'outre-Atlantique :
Le Cadborosaurus
Au Canada, au large de la Colombie-Britannique vit une espèce de serpent de mer, Cadborosaurus (ou Caddy pour les intimes). Quoique plusieurs observations aient été faites en haute mer, la majorité des témoignages provient du passage Juan de Fuca, un bras de mer qui mène vers le port de Seattle.
Cette créature atypique (ce cryptide aurait un long corps serpentiforme d'environ 10 à 20 mètres de long, et une tête pourvue d'une crinière semblable à celle d'un cheval), est signalée depuis 2 siècles et a même été aperçu par le fameux Capitaine Cook en 1778.
Certaines tribus indiennes Chinook de Colombie Britannique, considérés comme les plus anciens observateurs l'ont surnommés Hiachuckaluck.
En 1937, à Naden Harbour, situé dans une baie d’une des îles de la Reine-Charlotte, des pêcheurs découvrent dans le ventre d'un cachalot le corps à moitié d'une créature marine inconnue. Les pêcheurs n'ont pas conservé la carcasse en mauvais état mais ont conclus que ce n'était pas celle d'un requin ou d'un grand poisson en décomposition. Depuis, plus de 200 observations ont étés recensées, certaines émanant de policiers ou de médecins, d'autres de touristes ou d'autochtones.
Ogopogo, la créature du Lac Okanagan
Ogopogo est le nom du célèbre monstre du lac Okanagan, le plus grand lac de la Colombie-Britannique. Ce monstre, connu comme le Nessie d’Amérique du Nord, est le doyen des monstres lacustres en Amérique du Nord.
Bien avant l’arrivée des Européens, les Amérindiens savaient que dans les profondeurs du lac Okanagan habite une terrible créature et leurs légendes en faisaient mention. Les premiers témoignages européens sur le monstre remontent à 1850.
En juillet 1890, Thomas Shorts, capitaine du vapeur Jubila, aperçut la grande créature d’au moins 5 mètres, au large de Squally Point. Le monstre avait une énorme tête de bélier, le brave capitaine tenta de capturer le monstre, mais celui-ci s’échappa.
D’autres rencontres suivirent. Les journaux en parlent à profusion. Plusieurs expéditions furent organisées pour capturer le serpent géant, mais sans aucun succès.
En 1949, M. Leslie Kerry et la famille Watson se promenaient dans un bateau, quand leur embarcation fut attaquée par une créature à la forme reptilienne de neuf mètres de long et avec une queue fourchue!
Les vacanciers en réchappent par miracle. D’autres familles qui pique-niquaient sur les rives, ont vu la scène et ont remarqué que le monstre était noir et avait la peau lisse.
En 1959, M. Dick Miller, rédacteur d’une revue très sérieuse et respectable, Vernon Advertiser, faisait une croisière sur le lac en compagnie de sa femme et d’un couple d’amis. À un moment donné, le groupe aperçoit, à environ 75 mètres dans leur sillage, ce qui paraissait être un serpent. La créature avançait vite. Sa tête était à environ 25 centimètres au-dessus de l’eau. Le monstre avait un museau court et cinq bosses. Sa couleur a semblé proche d’un vert très foncé. Dérangée par le bruit du moteur, la créature baissa la tête et s’enfonça peu à peu sous l’eau. Naturellement, la revue a publié le rapport. Le tirage fut épuisé en 10 minutes et on dut réimprimer la publication qui s’est vendue jusqu’à Toronto et aux États-Unis.
En 1968, Ogopogo a essayé d’attraper un groupe de jeunes skieurs nautiques. Miraculeusement, ils se sauvent, eux aussi. La même année, un film a été tourné par M. Art Folden qui a réussi à surprendre le monstre. Son film fit sensation dans le monde. On y voit nettement une créature d’environ 20 mètres de long (notez que la créature est plus grosse à chaque nouvelle apparition, mais il faut bien reconnaître qu’elle semble avoir bon appétit).
Le 3 août 1976, M. Ed Fletcher, de Vancouver prend cinq photos du monstre. On n’y voit presque rien, en raison de la grande distance entre le photographe et l’objet, mais avec un peu d’imagination, on y distingue notre cher Ogopogo.
Des statues d’Ogopogo ont été érigées à plusieurs endroits autour du lac. Nul doute, ces œuvres d’art ont l’objectif pratique de permettre aux habitants et aux touristes de se familiariser avec l’image d’Ogopogo. De cette façon, ils pourront mieux l’identifier le moment venu.
Le nom du monstre marin, Ogopogo, est un palindrome repris du titre de la chanson humoristique anglaise des années 1920 de William Brimblecombe intitulée Ogopogo Song.
Le Mokele-Mbêmbe
En 1776, l'abbé Lievan Bonaventure Proyarte rapporte dans son livre "Histoire du Loango, du Kakonga, et d'autres royaumes d'Afrique", qu'un groupe de missionnaires français avait trouvé dans la forêt, les traces d'un énorme animal inconnu.
Pour vérifier les dires des populations locales, certains savants ont montré aux Pygmées des ouvrages paléontologiques représentant des dinosaures (il faut rappeler que les Pygmées ne connaissent pas l'existence des dinosaures). D'après les témoignages, les scientifiques s'accordent à dire qu'il ne s'agit pas d'un théropode (famille du tyrannosaure) mais d'un sauropode de la famille des brontosaures, animaux gigantesques au long cou qui vivaient à l'ère secondaire, qui sont censés avoir disparus il y a 65 millions d'années.
En 1913-1914, le baron Von Stein zu Lausnitz entendit parler d'une étrange créature dans le Cameroun allemand de l'époque (aujourd'hui le nord du Congo Brazzaville), appelée Mokele-Mbêmbe :
"La créature doit se retirer de préférence au sein des cavernes innombrables, creusées sous la surface de l'eau, dans les berges argileuses. Même en plein jour, il lui arrive cependant de grimper sur la rive pour aller y chercher sa nourriture strictement végétale - trait incompatible avec l'idée selon laquelle il s'agirait d'une légende ! La plante favorite de la bête serait une sorte de liane riveraine à grandes fleurs blanches, qui sécrète un latex capable de fournir du caoutchouc et donne des fruits ressemblant à des pommes. Au bas du Ssômbo, on m'a même montré, à proximité d'un amas de plantes de cette sorte, la prodigieuse trouée que l'animal avait frayée dans l'épais taillis bordant la rivière, afin d'atteindre cette nourriture. [...]"
"L'animal aurait la peau lisse et de couleur gris-brun. Sa taille serait à peu près celle de l'éléphant, celle au moins de l'hippopotame en tout cas. Il semble avoir un long cou flexible et une dent unique, mais très longue, qu'on décrit parfois comme une corne. Quelques-uns parlent aussi d'une très longue queue, aussi puissante que celles des crocodiles. Les pirogues qui s'approchent de la bête seraient attaquées sur-le-champ et renversées, et les occupants en seraient tués, mais non dévorés."(Bölsche, 1929).
En 1924, le naturaliste anglais John G. Millais recueillit un rapport semblable, datant de la fin du dix-neuvième siècle, sur l'isiququmadevu du sud-ouest de la Zambie actuelle.
En 1977, Daniel Mambombo, professeur d'école à Epéna (nord du Congo), vit surgir de la Likouala-aux-Herbes un étrange animal. Il identifia spontanément avec une représentation de brontosaure tirée d'un ouvrage sur la préhistoire que lui montra l'herpétologiste américain James Powell.
Un autre élément, (c'est d'ailleurs celui-ci qui est le plus pris en compte) est le témoignage en 1983 du zoologiste congolais Marcellin Agnagna. Il affirme avoir vu le Mokele-Mbêmbe dans le lac Tele, à une distance de 250 mètres pendant 20 minutes.
On a très peu entendu parler du Mokele-Mbêmbe avant 1976, année où James Powell, un herpétologiste du Texas, a fait un voyage au Gabon pour étudier les crocodiles qui vivent dans les forêts tropicales. Powell a recueilli des récits du peuple Fang à propos d'un énorme monstre de rivière nommé N'yamala, et un sorcier local du nom de Michael Obang a reconnu dans la photo d'un diplodocus d'un livre de dinosaures le N'yamala qu'il a vu sortir d'un étang de la jungle en 1946. Plus tard, Powel fit part de cette information à Roy P. Mackal, biologiste à l'université de Chicago et vice-président de la société internationale de cryptozoologie. En 1979, Mackal et Powell se sont rendus dans la République du Congo pour étudier le Mokele-Mbêmbe, qui, selon Mackal serait surtout présent dans la région de Likouala, un énorme marais inondé de façon saisonnière et non indiqué sur la plupart des cartes.
Dans un village du nord, nommé Impgondo, situé près de la rivière Oubangui, Mackal et Powell rencontrèrent le pasteur Eugène Thomas de l'Ohio, un missionnaire qui travaillait au Congo depuis 1955. Le pasteur Thomas avait entendu plusieurs récits à propos du Mokele-Mbêmbe, et il a fait venir les témoins qui avaient vu le monstre. Au début, Mackal était réticent à croire qu'il était sur la piste d'un dinosaure vivant. Cependant, chaque témoin était absolument certain que les illustrations de l'apatasaurus et du diplodocus du livre de Mackal sur les dinosaures correspondaient au Mokele-Mbêmbe. Selon Mackal :
"Les témoins décrivirent des animaux mesurant de 15 à 30 pieds; ils parlèrent surtout de la tête, du cou et de la queue. La tête ressemblait à celle d'un serpent, il avait une longue queue étroite et un corps approximativement de la taille d'un éléphant ou au moins de celle d'un hippopotame. Ses pattes étaient courtes, et celles de derrière étaient munies de trois griffes. Les animaux étaient de couleur brun rougeâtre et avaient une crête ressemblant à celle d'un coq, qui partait du dessus de la tête et qui se rendait jusqu'au bas du cou."
Depuis le début du vingtième siècle, on signale au coeur de l'Afrique tropicale un animal décrit ainsi : une petite tête comparée à celle d'un serpent, un long cou comme celui d'un serpent, un corps de la taille d'un éléphant de forêt ou d'un hippopotame, quatre pattes comme des piliers et une queue comparée à celle d'un serpent ou d'un crocodile. La longueur totale est de 8 à 10 mètres.
L'animal, appelé Mokele-Mbêmbe dans le nord du Congo, et nyamala au Gabon, est réputé dangereux par sa force (il peut renverser une pirogue d'un coup de queue), mais exclusivement herbivore : les témoins (notamment des Pygmées dont certains n'avaient encore jamais vu d'Occidental) montrent au Congo comme au Gabon le végétal qu'affectionne l'animal, le malombo (Landolphia). L'animal habite dans la forêt tropicale humide et semble de moeurs plus ou moins aquatique.
Certains scientifiques ont émis l'hypothèse que le Mokele-Mbêmbe, sans être un dinosaure, pourrait être une espèce inconnue de gros lézards, tels les varans. Le plus grand varan vivant est le dragon de Komodo, qui vit en Indonésie et mesure 3 à 4 mètres de long ; pourrait-il en exister une espèce encore plus grande dans les marécages du Likouala ?
Le Mystère demeure...
dimanche 22 janvier 2012
Le Yéti et ses cousins...
Le yéti ou l'abominable homme des neiges
Créature velue, originaire du pays des Sherpas, au nord du Népal (Dans l'Himalaya en gros), "l'abonimable homme des neiges" résiste à la rudess du climat local et reste insaisissable.
L'historique :
- En tibétain, le mot yéti désigne les hommes sauvages. Deux spécimens abatus d'espèces proches ont pu être observés : le premier, par un général soviétique dans une caverne du Pamir (en Asie centrale) en 1925 et le second, ramené du Vietnam par un américain qui l'exiba congelé lors de fêtes forraines à la fin des années 1960. Couverte de poils et très musclée, la créature ressemblait à un Neandertalien au front fuyant et aux arcades proéminentes. La polémique naquit du fait que cette espèce est supposée éteinte depuis 40 000 ans.
- Toujours aperçu mais jamais capturé, le yéti continu de nous faire rêver ! Il apparait dans les légendes népalaises avant d'être mentionné en Europe au cours du XIXème siècle (19 ème). Tantôt agressif avec la force d'un monstre féroce, tantôt humanisé et décrit comme une bête traquée, les avis sont partagé.
Morphologie et indices de présence :
Sa taille oscillerait entre 1,50 m et presque 4 m. Des empreintes profondes laissées dans la neige témoignent et présentent un gros orteil détaché des trois autres doigts de pieds, cas unique chez les primates. On trouve également des excréments et des poils en plus des témoignages oraux.
Le Bigfoot ou Sasquatch
Dans les forêts profondes et solitaires d'Amérique du Nord se cacheraient un primate dressé sur ses pattes arrière : le Bigfoot. Un mythe soutenu par de si nombreux témoignages qu'il en est peut-être réel...
Un peu d'histoire :
Depuis des siècles, les légendes des Indiens d'Amérique du nord évoquent avec insistance une créature à l'allure presque humaine, mais recouverte d'une épaisse toison (couche de poils) et de très grande taille. Appelé Sasquatch, Omah ou Windigo par les Indiens, la bête est devenu le Bigfoot ("grand pied") pour les visages pâles dans les années 1950 : les empreintes de pas gigantesques retrouvées à de multiples reprises dans les forêts du nord-ouest américain lui ont valu ce surnom.
Description :
D'après la plupart des témoignages, le Bigfoot aurait l'allure d'un humanoïde géant, de 2 à 3 mètres de haut, entièrement recouvert de poils bruns ou roux à l'exception de son visage à peu près glabre (sanspoil). Ses bras, giantesques, atteignent la hauteur de ses genoux et ses pieds mesurent jusqu'à 45 centimètres de long si l'on en croit les empreintes retrouvées. Sa tête aux grands yeux, au front large et à l'arrière du crâne pointu, semble posée directement sur ses épaules, sans cou visible. le Bigfoot se cacherait de préférence à l'abri des forêts et des montagnes.
L'histoire de sa découverte :
La première empreinte "officielle" du Bigfoot fut découverte en 1958 par un bûcheron qui travaillait dans la forêt. Au fil des années qui suivirent, de nombreux campeurs ou chasseurs affirmèrent avoir croisé la bête. Certains l'ont même prise en photo : ainsi, en 1967, un certain Roger Patterson décida de partir à la recherche du Bigfoot dans les forêts de l'Etat de Washington. Après une longue quête infructueuse, il arriva dans une clairière au fond de laquellle il aperçut une sorte d'immense gorille se tenant debout... L'animal commença à s'éloigner dès qu'il aperçut Patterson, mais celui-ci eut cependant le temps de le filmer quelques secondes. Canular ou images authentiques ? nul ne peut le dire avec certitude.
De nos jours les témoignages continuent d'affluer...
L'Almasty
L'almasty, également appelé kaptar, est une créature mystérieuse qui habiterait la chaîne montagneuse du Caucase. Il s'agirait d'un homme sauvage dont la description est proche de celle du yéti.
Bien que de nombreux cultivateurs et bergers locaux aient témoigné de sa présence, aucun almasty (vivant ou mort) n'a pu faire l'objet d'observations scientifiques. Sur la base de ces témoignages, certains auteurs le considèrent comme un homme de Néandertal qui aurait survécu jusqu'à aujourd'hui dans les régions reculées des hautes montagnes du Caucase.
Mais pour Yves Coppens, ce n'est pas une hypothèse scientifiquement défendable, les témoignages recueillis orientent plutôt vers un grand primate que vers un humanoïde 1.
Faute de preuve matérielle vérifiée par une analyse d'ADN, la plupart des scientifiques considèrent l'almasty comme une expression du folklore populaire, au même titre que le yéti, le sasquatch et autres cryptides anthropomorphes.
Description :
L'homme sauvage du Caucase a une taille pouvant aller de 1,80m à 2,20m. Son corps est recouvert d'un long pelage brun roussâtre cachant une peau sombre. La tête est protégée par de longs cheveux rèches et abondants. Les yeux émettent une lueur rougeâtre dans l'obscurité signe d'une certaine aptitude à la vision nocturne. Les femelles arborent des seins volumineux mais il y a un faible dismorphisme sexuel. Pendant des siècles l'almasty a bénéficié d'une certaine clémence de la part de la population locale établissant avec elle une relation commensale (c'est à dire une espèce animale qui se nourrit des déchets produits par une autre mais sans causer préjudice à cette dernière) ou il profitait de la nourriture et d'un certain abris, mais les purges staliniennes entre 1944 et 1957 ont rompu cette relation. Depuis le nombre des témoignages a considérablement dimininué et on considère maintenant que l'almasty comme la majorité des hommes sauvages d'Asie centrale .
Recherches et expéditions :
La rumeur de l'existence de l'almasty fut tellement persistante qu'une expédition scientifique franco-russe fut organisée pour le rechercher, sans succès. L'expédition fut organisée par Marie-Jeanne Koffmann, chirurgienne à Moscou et présidente de l'Association de Cryptozoologie de Russie. La mission fut notamment cautionnée par Yves Coppens, professeur au Collège de France, qui la présenta sur TF1 au cours d'une émission de Patrick Sabatier. Au cours des expéditions qu'elle fit dans le Caucase, Marie-Jeanne Koffmann recueillit plus de 500 témoignages visuels, présentés dans la revue Archéologia.
En juin 2008, une expédition formée de Britanniques et du biologiste ukrainien Grigory Panchenko a passé 21 jours dans le Caucase. Ils ont rencontré plusieurs témoins visuels et ont trouvé des selles et environ 20 cheveux sur lesquels une analyse d'ADN pourrait être faite. Dans la zone parcourue, ils estiment entre 100 et 300 le nombre d'almasty présents, qu'ils considèrent comme de probables hominidés peu évolués plutôt que des Néandertaliens. Dans une grotte, ils ont trouvé des débris d'ossements (crâne, os des doigts) qui restent à étudier plus précisément...
La Cryptozoologie
Le terme de cryptozoologie désigne l'étude des animaux dont l'existence même est sujette à caution, tels le « dauphin du Sénégal » ou, plus connus, le yéti et le monstre du Loch Ness, voire des animaux supposés éteints.
Il n'existe aucune formation universitaire de cryptozoologie, aucun institut scientifique officiel. Ainsi, chacun pouvant s'intituler « cryptozoologue », ne doit être considéré ici comme relatif à la cryptozoologie que ce qui se rapporte au travail d'un zoologue intéressé par la cryptozoologie, sous peine de verser dans un catalogue tenant de la légende urbaine, de la mythologie, du sensationnalisme, sans le moindre étayage que seul un zoologue peut opérer.
Le travail des zoologues intéressés par la cryptozoologie consiste d'ailleurs essentiellement à écarter les canulars, selon le zoologue Bernard Heuvelmans qui est considéré comme le créateur de la cryptozoologie, dans son ouvrage de référence Sur la piste des bêtes ignorées bien que « l'invention » du terme ne lui soit pas attribuée.
Si ce manque d'organisation est jugé regrettable, le fait même d'étudier aussi des témoignages (par définition subjectifs) soulève d'emblée la critique de la grande majorité de la communauté scientifique.
Il n'existe aucune formation universitaire de cryptozoologie, aucun institut scientifique officiel. Ainsi, chacun pouvant s'intituler « cryptozoologue », ne doit être considéré ici comme relatif à la cryptozoologie que ce qui se rapporte au travail d'un zoologue intéressé par la cryptozoologie, sous peine de verser dans un catalogue tenant de la légende urbaine, de la mythologie, du sensationnalisme, sans le moindre étayage que seul un zoologue peut opérer.
Le travail des zoologues intéressés par la cryptozoologie consiste d'ailleurs essentiellement à écarter les canulars, selon le zoologue Bernard Heuvelmans qui est considéré comme le créateur de la cryptozoologie, dans son ouvrage de référence Sur la piste des bêtes ignorées bien que « l'invention » du terme ne lui soit pas attribuée.
Si ce manque d'organisation est jugé regrettable, le fait même d'étudier aussi des témoignages (par définition subjectifs) soulève d'emblée la critique de la grande majorité de la communauté scientifique.
Le fantôme de la dame brune de RAYNHAM HALL
Il semblerait qu’un fantôme hante le domaine Raynham Hall en Angleterre.
Voici l’une des photos de fantôme les plus célèbre de l’histoire. Jamais, on a pu prouver
à un trucage quelconque. Elle fut prise dans la hall du château de Raynham en Angleterre, et le fantôme
est nul autre que Lady Dorothy Townshend-Walpole décédée en 1726 . Le fantôme aurait été aperçu à plusieurs reprises dans différents endroits du château , apparemment cherchant ses 5 enfants dans les corridors du château et dérangeant tous ceux qui s’y aventure. Ce fantôme est mieux connu sous le surnom anglais de ; THE BROWN LADY OF RAYMAN HALL (la dame brune de Raynham Hall).
Au tout début du 19e siècle, les descendants de la famille Townshend continuait d’habiter la demeure ancestrale dénommée Raynham Hall.
Le Roi George IV aurait rapporté avoir aperçu l’apparition d’une silhouette féminine habillée dans une robe de satin brune. Selon les dires du Roi, son visage d’une grande pâleur le dévisageait alors qu’il était couché dans son lit.
En 1835, alors qu’il se dirigeait dans sa chambre pour se coucher, le colonel Loftus fut témoin également de la dame en brune , qui apparu et disparu rapidement sous ses yeux. Une semaine plus tard, le colonel rencontra a nouveau le fantôme dans un corridor du château., le fantôme le fixa soudainement, et à sa grande frayeur il nota que ses yeux étaient absents du visage .
Peu de temps après cette dernière apparition au colonel Loftus, un autre visiteur séjourna au château . Le capitaine Frederick Marryat. Ce dernier ayant entendu toute ses rumeurs à propos du fantôme, était excité à l’idée de le croiser dans les corridors. On le fit séjourner dans la chambre où Dorothy fut gardé captive .
Une nuit, alors qu’il déambulait les corridors avec deux de ses amis à la recherche de la dame en brun, et équipé de lanternes le fantôme croisa rapidement le capitaine. Ce dernier remarqua un sourire sinistre dans le visage blanc du fantôme. Il dégaina son fusil rapidement et tira un coup de feu en direction du fantôme. La balle traversa le dos du fantôme pour se loger dans le mur du corridor.
En 1936 le fantôme fut capturé sur pellicule pour la toute première fois. Deux photographes de la revue COUNTRY LIFE , le capitaine Provand et Indre Shira réussirent l’impossible. Alors qu’ils prenaient des clichées pour leur reportages, une silhouette descendit les escaliers du hall principal du château.
La Tour de Londres...
La tour de Londres traîne un lourd passé sanglant derrière elle. De nombreux membres de la famille royale y furent exécuté. On dit qu'entre ses murs, leurs âmes ne pourraient trouver de repos et que leur présence serait souvent observée par les yeux des vivants. La tour de Londres serait selon certains l'un des endroits les plus hanté au monde.
En voici quelques exemples :
La tour de Londres comporte plusieurs tours et ces lieux seraient hantés par différents esprits aperçus à de nombreuses reprises. On reconnaît souvent des membres de la famille royale, mais parfois, les mystérieuses apparitions ne peuvent être associé à aucune histoire du passé. L'un des premier témoignage à avoir été consigné fut noté en 1241 et l'on reconnu le chancelier Thomas Becket.
Assassiné sur ordre du roi Henri II en 1170, Thomas Becket fut aperçut 71 ans après son meurtre. On apercevait parfois son spectre dans la tour portant son nom, la tour de saint Thomas, surtout lorsqu'on y effectuait des modifications. Les constructions furent souvent retardées par des accidents inexplicables ou par les éléments se déchaînant. Un prêtre prétendit avoir aperçut la forme fantomatique de Thomas, frappant une construction de sa croix jusqu'à ce que celle-ci cède.
De toute les tours s'élevant sur le site de la tour de Londres, il y en a une qui porte bien son nom... La "tour sanglante". Une de ses histoires les plus célèbres est celle de Anne Boleyn, décapité en 1536 pour adultère. C'était un spectacle inconnu puisque c'était la première exécution publique d'une reine anglaise. N'ayant aucun cercueil pour elle, Anne Boleyn fut enfermée dans une vielle boite trop petite alors que son corps était enterré à la hâte sous la chapelle saint Peter Ad Vincula. Elle fut aperçut à de nombreuses reprises, errant autour de la chapelle, à l'anniversaire de son exécution, suivit par un cortège de seigneurs et de dames, vêtus des costumes de l'époque.
En 1864, une sentinelle l'aperçut dans une forme blanche voilée par un étrange brouillard. Sa dernière apparition remonte en 1936 alors qu'un garde vit une femme sans tête flotter vers lui dans la tour sanglante. La sentinelle mis le mystérieux inconnu en garde mais ne recevant aucune réponse, il chargea. Le garde fut paralysé par la peur quand il vit sa baïonnette traverser la silhouette.
Margaret Pole, âgé de 70 ans et dernière héritière des Plantagenet, fut décapitée par vengeance, sous ordre du roi Henri VII. Le jour de son exécution, elle refusa de poser sa tête sur le billot et le bourreau dû la poursuivre jusqu'à la tour verte. Il abattit sa hache à de nombreuses reprises sur elle avant qu'elle ne rende l'âme dans d'atroces souffrances. Cette horrible exécution se répéterait chaque année au pied de la tour verte, à la date d'anniversaire de sa mort.
Promise au jeune Edward VI, Lady Jane Grey avait l'honneur de recevoir l'héritage royal. Par contre, le jeune roi mourut et la laissa seule au trône qu'elle ne désirait pas vraiment. Elle fut mariée de force à Guildford Dudley. Grâce à la machination de ses parents, les espoirs de son beau-père furent comblés et elle devint reine. Ce n'était pas son choix mais celui de ses parents. Néanmoins, les deux mariés tombèrent rapidement amoureux l'un de l'autre mais leur paix fut de courte duré, tout comme leur vie. Il ne furent sur le trône que quinze jours avant d'être jeté en prison.
âgé de seulement 15 ans, Lady Jane Grey fut décapité quelques heures après son amoureux.
On raconte que les amants maudits furent tout les deux aperçus dans les corridors de la tour de Londres. Le fantôme de Guilford Dudley viendrait, dit-on, s'asseoir près d'une fenêtre de Beauchamp Tower pour pleurer sa bien-aimée, comme il le fit avant son exécution.
Lady Jane Grey fut aussi aperçue plusieurs fois après sa mort. Sa dernière apparition remonte en 1957, où deux sentinelles aperçurent son fantôme sur le toit de la tour de sel.
21 Mai 1471, alors qu'il priait à sa chapelle privée dans la tour Wakefield, le roi de 39 ans, Henri VI, fut poignardé. Il était un homme très religieux mais faisait un mauvais monarque. 500 ans après sa mort, le roi Henri VI fut revue mainte fois, les mains liées, priant dans cette même chapelle qui l'avait vu mourir.
Douze ans après la mort d'Henri VI, édouard IV (le présumé assassin de Henri VI) mourut, laissant le trône à son fils aîné de douze ans. Le régent Richard, duc de Gloucester, déclara les deux enfants d'édouard IV illégitime, accédant ainsi au trône. Les deux enfants furent enfermés dans la tour et ont ne les revit jamais. La légende raconte que le régent Richard (maintenant devenue Richard III) les fit exécuter dans la tour sanglante. Leurs fantômes erreraient, se tenant la main, dans cette même tour et auraient été aperçus à de nombreuses reprises.
Aventurier et grand savant, Sir Walter Raleigh était très populaire en 1603. C'est pour cette raison qu'il ne fut pas exécuté lorsque le roi Jaques 1er soupçonneux, l'accusa de comploter contre lui. Plutôt que de recevoir un châtiment mortel, il fut fait simple prisonnier. Néanmoins, il gardait une certaine liberté, pouvant vivre avec sa famille et continuer ses expériences scientifiques. Libéré en 1616, il fut à nouveau accusé de trahison en 1618 et cette fois, il n'échappa à la décapitation. On l'aurait vu souvent baigné dans la lumière de la lune sur des rempart proche de ses anciens appartements et ils furent nommé : "La promenade de Raleigh".
On raconte avoir aperçut en ces lieux, plusieurs autres personnages inconnus, des victimes des bourreaux. Des cortèges transportant les corps décapités des suppliés semble chose possible en ces lieux. Parmi ces fantômes inconnus, on cru reconnaître Le Duc de Monmouth, vu sur le chemin reliant Bell et Beauchamp Tower mais les apparitions ne sont pas toutes celle d'êtres humains, des animaux fantômes furent également observés. Pouvant sembler déplacé, ces apparitions n'ont pourtant rien de surprenante puisqu'on trouvait une ménagerie au cour de la tour de Londres et ce, pendant des siècles. La plus populaire est sans doute celle de l'ours Fantôme. Durant l'hiver de 1815, une sentinelle fut surprise par un ours sortant de nul part. En tentant de se défendre, le garde constata que son arme traversait l'animal comme dans l'air, et épouvanté, il perdit conscience.
Il eut le temps de raconter ce qu'il avait aperçut cette nuit là avant de rendre l'âme le jour suivant.
La Maison d'Amityville...
"La maison du diable" comme on l'appellera plus tard, est construite en 1928. De style colonial à trois étages, elle située 112 Ocean Avenue, dans les quartiers aisés d'Amityville (Long Island), non loin de New York.
Le massacre de la famille Defeo
Mercredi 13 Novembre 1974 vers 3 h du matin, Ronald DeFeo Junior finit d'écouter un film appelé Castle Keep. Il prend son fusil 35 mm et assassine son père, sa mère, ses deux frères et deux soeurs pendant qu'ils dorment dans leurs lits. Certains sont tués dans leur sommeil, d'autres auront le temps de se réveiller avant leur assassinat : • Ronald Senior reçoit 2 balles dans le dos. Entrées par le cou, elles traversent ses reins et sa colonne vertébrale. Le coroner indique que la victime a essayé de se déplacer vers le haut avant de mourir. Il a été vivant de quelques secondes à quelques minutes avant de succomber à ses blessures.
• Louise reçoit elle aussi 2 balles : une entre et sort par son poignet gauche. La 2ème détruit son poumon, son diaphragme, sa cage thoracique et son foie. Elle se dirige vers la porte et meurt 10 minutes après la fusillade.
• Mark et John reçoivent des tirs à bout portant (moins de 2 pouces). Les balles pénètrent le coeur, les poumons, le diaphragme et le foie de chaque victime. La moelle épinière de John est touchée sévèrement.
• Allison est réveillée et a le temps de voir la muselière du pistolet avant qu'il reçoivent la balle en plein tête. La balle est sortie, a frappé le mur et a rebondi par terre.
• Dawn à reçu une balle à bout portant également (moins de 3 pouces) dans le bas de son cou. La balle est sortie par l'oreille gauche.
La police croit que les voisins n'ont rien entendu car la maison agissait comme un château fort et aurait assourdi le son. De plus, le chien DeFeo aboyait bruyamment pendant tout le temps des meurtres.
Les DeFeos croyaient très probablement que Ronald DeFeo Jr regardait encore Castle Keep, une émission particulièrement violente et remplie de tirs bruyants. DeFeo Jr. écoutait la télévision très fort, ce qui pourrait expliquer pourquoi les enfants ne se sont pas réveillés. M. et Mme DeFeo ont été les premiers à être assassinés et les enfants n'avaient aucune raison d'être alarmés parce qu'ils dormaient dans leur maison, dans leurs lits. Les autopsies ont révélé que les DeFeos n'ont pas été drogués au dîner et il a été prouvé que Mme DeFeo et Allison se sont réveillées. Ronald DeFeo Jr. déclarera durant son interrogatoire que Dawn s'était réveillée et lui a demandé quel était le problème. Il lui a dit de se recoucher, se qu'elle a fait, et c'est alors qu'il l'a abattue. Il est dur de dire si ce qu'il raconte est vrai car il a créé beaucoup de versions différentes des meurtres pendant l'interrogatoire de la police.
A la demande de l'avocat de la défense, William Weber, une enquête a lieu dans la maison afin d'y trouver une quelconque puissance capable d'avoir influencé le meurtrier. Sans doute renseigné par des spécialistes en parapsychologie, il soupçonne l'existence de champs électromagnétiques dus à des vices de forme ou à des forces telluriques avoisinantes susceptibles de saturer l'environnement en ondes nuisibles à l'équilibre des cellules et à la santé mentale de son client. Cette thèse du champ parapsychologique est avancée par un certain Hans Holzer pour justifier pourquoi aucun des membres de la famille DeFeo n'a été alerté par les coups de feu. Il inhibe les sons et affecte la perception du bruit. Mais de là à entendre des voix d'outre-tombe…
L'affaire est classée par les scientifiques qui refusent d'y voir autre chose qu'une folie meurtrière. Mais la maison étant « tâchée de sang », elle reste inoccupée pendant plusieurs mois malgré son prix attractif : « Quartier résidentiel d'Amityville. Villa style colonial hollandais, 6 chambres à coucher, 1 grand salon, 1 grande salle à manger, une véranda fermée, 3 ½ salles de bains, sous-sol fini, garage 2 voitures, piscine chauffée, et grand hangar à bateaux. Prix demandé : 80.000 dollars ».
Les nouveaux habitants de la maison du diable : Les lutz en 1975-1976
Les Lutz emménagent avec leurs 3 enfants le 18 Décembre 1975. Une de leurs premières actions est de demander à un prêtre de venir bénir la maison. Au cours de la bénédiction, le prêtre dit entendre une voix, forte, semblant venir de nulle part, lui disant simplement : Allez-vous en ! Rapportés par les Lutz eux-mêmes dans une interview qu'ils ont accordée à la télévision History Channel dans le cadre de deux reportages consacrés à la légende d'Amityville (3), les phénomènes envahissent peu à peu leur quotidien.
Ils constatent d'énormes variations de température, la présence de l'odeur écœurante d'un vieux parfum, la formation de tâches noires sur les sanitaires et l'apparition de nuées de mouches malgré la saison hivernale.
George Lutz est tiré de son sommeil chaque nuit vers 3h15. Cauchemar ou réminiscence du massacre des DeFeo qui eut lieu à cette heure ?
Enfin, Mélissa, la cadette, évoque à plusieurs reprises de la présence d'une « amie » du nom de Jodie qui se manifeste à elle en lui assurant qu'elle « resterait toujours dans la maison ». Imagination infantile ou expression du démon ?
Le temps fort de ces manifestations reste la découverte dans la cave d'un réduit qui ne figure sur aucun plan. Même le labrador noir Harry refuse d'approcher cette pièce malodorante aux murs peints en rouge…
Un lion de céramique de plus de 1 m de haut se met à bouger tout seul. On trouve des empreintes de sabots fourchus dans la neige tout autour de la maison. Les traces mènent tout droit à la porte du garage qui avait été arrachée de ses gonds, une prouesse qui aurait nécessité, selon Anson, une force au-delà de celle d'un être humain. Les Lutz arrivèrent rapidement à la conclusion que la maison de leurs rêves était en fait un endroit cauchemardesque hanté par des démons maléfiques.
Kathy Lutz est la première à être véritablement terrorisée par les entités qui hantent la maison. Des bras invisibles l'enlacent; des êtres tentent de la posséder. Toute fuite était impossible, écrivait Anson, elle avait l'impression qu'elle allait mourir. Plus tard, des marques rouges très douloureuses apparurent sur sa peau, comme si elle avait été frappée à coup de tisonnier brûlant. A la même période, George Lutz vit à son tour des événements étranges. Il entend une fanfare défiler dans la maison, avec le bruit des bottes et le son d'instruments à vent. Il ne voit rien mais retrouva les tables, les fauteuils et le canapé poussés contre les murs du salon, comme pour laisser le passage à la cohorte endiablée. Par-dessus le marché, les Lutz affirment avoir eut plusieurs fois la visite d'êtres démoniaques. Ces entités se manifestent sous des formes très variées : immense silhouette encapuchonnée de blanc, démon cornu ou encore cochon diabolique avec deux yeux ardents.
Trop c'est trop
Puis, l'événement le plus extraordinaire, la goutte d'eau qui fit déborder le vase, a lieu une nuit de début Janvier 1976. Cette nuit-là, George n'arrive pas à trouver le sommeil, et après avoir décidé de sortir boire un verre, il se tourna vers sa femme pour la prévenir. A sa grande stupéfaction, elle ne se trouvait plus à ses côtés ; il leva les yeux : elle lévite dans les airs ! Plus horrible encore : lorsqu'il la tira par la manche pour la faire redescendre dans son lit, elle se rida et prend un instant l'apparence d'une vieille femme hideuse.
C'en est trop pour les Lutz. Ils quittent la maison le 14 Janvier 1976. Mais, selon John G. Jones, le Diable, resté lové avec malveillance autour d'elle, la tenant sous sa coupe poursuit la famille dans ses nouvelles demeures. En somme, Amityville, métaphore du démon, est partout.
L'histoire d'Amityville allait être la source d'inspiration de nombreux auteurs de livres d'horreur dans les années 1980s. La plupart se réclament de la pure fiction, mais quelques-uns prétendent raconter la «'vraie» histoire, Toutefois, dans leur grande majorité, les spécialistes du paranormal affirment qu'il n'y a jamais eu d'histoire «vraie». Selon eux. L'affaire des Lutz serait une pure fiction d'un bout à l'autre.
Malgré les preuves écrasantes en faveur d'une supercherie, Ed et Lorraine Warren, de la Société pour la recherche psychique de Nouvelle-Angleterre, soutiennent que le récit des Lutz est authentique. Ils ont enquêté dans la maison avec un groupe de chercheurs après que les Lutz l'eurent abandonnée; ils furent remplis d'un sentiment d'horreur absolue en explorant la propriété. Quand Ed Warren descendit à la cave, il dit avoir vu des milliers de points lumineux, ainsi que des formes sombres qui essayèrent de le précipiter à terre. Et quand Lorraine Warren, qui est médium, tenta d'entrer en communication directe avec les êtres hantant la maison, un membre de l'équipe s'évanouit, deux eurent des palpitations et un autre se sentit tellement mal qu'on dut le faire sortir d'urgence de la maison.
Pour les Warren, le « mal » associé à la maison est bien antérieur à la tuerie perpétrée par DeFeo. D'après leurs investigations, le terrain sur lequel est bâtie la maison fut autrefois un site de détention utilisé par les indiens Montauketts, premiers colons de la région, pour parquer leurs malades mentaux, la maladie mentale étant attribuée à l'action du démon. Plus tard, un sorcier de Salem du nom de John Ketcham, chassé du Massachussetts au 17 ème siècle, vint y trouver refuge pour rendre un culte au Diable. Or, un corps a été exhumé au début du 20 ème siècle à l'emplacement de la propriété. Le cadavre de John Ketcham ou celui d'un chef indien ? Quel qu'il soit, la force qui se manifeste à Amityville lui serait attribuée ! Les esprits inhumains se délectent d'une telle souffrance, affirment les Warren; ils infestent les tombes de ceux qui n'ont pas été enterrés en terre consacrée.
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