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jeudi 2 février 2012

Focus sur...

Le Chupacabra


A l'origine, c'est en 1960 que le terme de "chubacabra" est utilisé par un fermier dans un épisode de la série Bonanza pour désigner un suceur de lait des chèvres.

Cependant, ce n'est que quinze ans plus tard, en mars 1975, pour que l'on parle d'un autre type de régime alimentaire, au travers du "vampire de Moca" (Porto Rico), donné responsable de la mort de nombreux animaux de ferme retrouvés vidés de leur sang et portant des blessures semblables à des piqûres ou des marques de poignard (on retrouve d'identiques à la même époque dans les cas de mutilations de bétail aux Etat-Unis). On rapporte même que, le 25 mars, un humain aurait été attaqué par une horrible créature recouverte de plumes qui l'aurait forcer à se réfugier derrière des broussailles.

En mars 1991, à Lares (Porto Rico) les habitants signalent la présence d'une créature simiesque. En juin non loin de là, d'autres déprédations animales surviennent, accompagnées de destruction de bananiers, causées par ce que la presse locale surnomme le "comecogolos", un hominoïde velu spécifique à l'île.

Ce n'est qu'à partir de mars 1995 que l'on voit le terme réutilisé : toujours à Porto Rico, 8 moutons sont découverts morts, exsangues. Alors que les enquêteurs n'envisagent qu'une attaque par un prédateur connu, tel un renard, d'autres sont troublés par la découverte de 3 marques étranges de perforation sur la poitrine des animaux, qui leur rappelle des événements de 1991, ou les cas de mutilations animales intervenues quelques décennies plus tôt, aux USA mais aussi à Porto Rico.

Vers la deuxième semaine d'août, à Barrio Campo Rico (Canóvanas, au nord-est de Porto Rico), vers 16h00, Madelyne Tolentino Maldonado aide sa mère a emménager au 1er étage de sa maison, quand elle voit quelqu'un reculer en voiture, apparemment effrayé par quelque chose. Elle aperçoit alors devant chez elle, à travers la fenêtre, une créature sur ses 2 jambes, les "bras" relevés comme prête à l'attaque. Mais sa caractéristique la plus bizarre reste comme une série de "plumes" rougeâtres aplaties sur son dos. Puis Madelyne crie et la créature s'enfuit, bondissant comme un kangourou. La mère de Madelyne essaye d'attraper la créature qui se dirige vers la forêt avec l'aide d'un homme, mais elle leur échappe. Ce dernier dira que ses "plumes" s'étaient redressées comme des pics, qui changèrent de couleur. Un autre jeune homme lança des bouteilles sur la créature.

Jusqu'à 150 animaux de ferme qui ont été tués par un prédateur non identifié, dont le pelage semblait brûlé par endroit, laissant la peau découverte. Dans la plupart des cas, comme les moutons, les animaux sont retrouvés exsangues avec de petites perforations. Parce qu'un certain nombre d'entre eux étaient des chèvres, les habitants commençent à parler de "chupacabra", un terme espagnol désignant un "suceur de chèvres".

Début septembre, vers minuit, toujours à Campo Rico, Jose Collazo un policier, est réveillé par l'alarme de sa voiture. Armé de son pistolet il sort et voit une créature qui semble essayer de mordre son chien. Elle se relève alors, semblant faire dans les 5 pieds de haut, et Collazo, se sentant menacé, tire sur elle. La créature s'enfuit alors. Aucune trace ne sera retrouvée cependant.

Le même jour un autre habitant de Campo Rico, Misael Negrón, voit sur son balcon (au 2ème étage) une créature de 4 et 5 pieds de haut, avec la peau sombre, une tête ronde avec un menton pointu, de grands yeux rouges, pas d'oreilles et ce qui semblait être 2 longs crocs sortant de sa bouche. Elle avait un cou fin, des bras fins avec des mains à 3 doigts et des griffes acérées. Elle avait 2 grandes jambes solides et le long de sa colonne vertébrale ce qui semblait être une crête aiguisée, qui semblait phosphorescente et changer de couleur du vert au bleu, au rouge, orange, vert et violet. La créature semblait inspecter le voisinage depuis le balcon, avant de se voir observée et regarder par la fenêtre avant de partir.

Le lendemain soir, encore à Campo Rico, Angel David Negron rencontre à son tour une créature agenouillée près d'une chèvre mutilée dans un champ derrière chez lui.Celle ci se voyant découverte, sauta et atterrit en face du témoin qui venait de fermer sa fenêtre.Elle s'enfuit rapidement dans un bois tout proche en émettant un puissant grognement et disparue...La chèvre avait apparemment été vidée de son sang et certains organes manquaient.

Une autre vague de massacres commence en février 1996, toujours à Porto Rico. La nuit du samedi 9 mars, 30 poules de Mme Teide Carballo sont tuées par un prédateur. La nuit suivante, ce sont 4 autres poules et 2 chèvres, dont une portait un petit. Carballo dit les avoir tous sont retrouvés exsangues, avec une incision à la gorge, et avoir aperçu une créature bipède par la fenêtre, marchant un peu comme un bossu ou comme un "singe". On envisage alors qu'une population de singes rhésus, utilisés pour des expériences sanguines à l'époque dans la région aurait pu s'échapper.

Un choses est sûre, le mystère plane toujours, et s'épaissit au rythme des apparitions de la créature...

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