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jeudi 26 janvier 2012

Nessie et ses cousins...

Le Monstre du Loch Ness


Aperçu pour la première fois en l'an 560, le monstre du Loch Ness (appelé Nessie) est aujourd'hui connu dans le monde entier. Pourtant, l'engouement pour ce phénomène est assez récent puisqu'il n'a été dévoilé au grand public que dans les années 1933-1934. Cependant, on signale aussi des apparitions en d'autres pays, donnant lieu à de nombreuses recherches. Malgré de nombreuses pistes plus ou moins sérieuses, l'existence de ce monstre lacustre reste encore un mystère...
Historique rapide :
Bien que la relation de l'existence de cette créature date du Moyen Age, personne n'est en mesure de dire si Nessie est bien réel et s'il s'agit bien d'un animal inconnu. Dès le XIXe siècle, l'existence de quelque chose au fond du lac était connue, les parents interdisant aux enfants de se baigner dans le loch par crainte du Kelpie (esprit malin à tête de cheval rodant dans les lacs).

En 1934, le journaliste Rupert Gould avance l'hypothèse qu'il s'agirait d'un spécimen isolé prisonnier du lac, mais certains témoignages font état de la présence de plusieurs monstres en même temps.

Depuis le XXe siècle, bien que de nombreuses observations de témoins soient rapportées, les multiples recherches scientifiques effectuées (Pisces en 1969, Yellow Submarine en 1972 et enfin Deepscan en 1987) n'ont jamais donné de résultats, tout au plus quelques échos sur des sonars, la plupart du temps peu convaincants, sauf en de rares occasions (en 1972, leurs sonars repèrent des objets animés de dix à douze mètres de long, durant plusieurs minutes, près de La Baie d'Urquhart). Cependant, curieusement, des sonars plus perfectionnés ne donnèrent aucun résultat. Récemment, des constructions d'origine humaine auraient été découvertes au fond du lac. Il faut cependant savoir que d'autres monstres du même genre ont été observés en différents endroits du globe (Chine, Afrique, Amérique). Ils ont eux aussi fait l'objet de nombreuses recherches qui n'ont, elles non plus, pu prouver qu'il existait bien un animal inconnu dans ces environs. Cependant, chaque année de nouvelles recherches ont lieu avec du matériel de plus en plus sophistiqué.
Pour en revenir au Loch Ness, la dernière observation a permis de repérer de mystérieux grognements sous la surface du lac. Même si aucune image de Nessie n'a pu être prise...

La Créature de Bowness-on-Windermere
une étrange créature de "type" Nessie a été photographiée près de Bowness-on-Windermere (Royaume-Unis)confirmant dans une certaine mesure la validité de vues précédentes de celui qu'on a surnommé Bownessie ou la Bête de Bowness.
Dernier témoignage en date, celui d'un couple faisant du kayak sur le lac Windermere, lorsqu'ils ont vu la créature.

Cette photographie a été faite par l'un des témoins à l'aide de son téléphone portable...D'après ce même témoin la créature était longue comme trois voitures...




Les cousins d'outre-Atlantique :
Le Cadborosaurus


Au Canada, au large de la Colombie-Britannique vit une espèce de serpent de mer, Cadborosaurus (ou Caddy pour les intimes). Quoique plusieurs observations aient été faites en haute mer, la majorité des témoignages provient du passage Juan de Fuca, un bras de mer qui mène vers le port de Seattle.

Cette créature atypique (ce cryptide aurait un long corps serpentiforme d'environ 10 à 20 mètres de long, et une tête pourvue d'une crinière semblable à celle d'un cheval), est signalée depuis 2 siècles et a même été aperçu par le fameux Capitaine Cook en 1778.
Certaines tribus indiennes Chinook de Colombie Britannique, considérés comme les plus anciens observateurs l'ont surnommés Hiachuckaluck.
En 1937, à Naden Harbour, situé dans une baie d’une des îles de la Reine-Charlotte, des pêcheurs découvrent dans le ventre d'un cachalot le corps à moitié d'une créature marine inconnue. Les pêcheurs n'ont pas conservé la carcasse en mauvais état mais ont conclus que ce n'était pas celle d'un requin ou d'un grand poisson en décomposition. Depuis, plus de 200 observations ont étés recensées, certaines émanant de policiers ou de médecins, d'autres de touristes ou d'autochtones.


Ogopogo, la créature du Lac Okanagan

Ogopogo est le nom du célèbre monstre du lac Okanagan, le plus grand lac de la Colombie-Britannique. Ce monstre, connu comme le Nessie d’Amérique du Nord, est le doyen des monstres lacustres en Amérique du Nord.
Bien avant l’arrivée des Européens, les Amérindiens savaient que dans les profondeurs du lac Okanagan habite une terrible créature et leurs légendes en faisaient mention. Les premiers témoignages européens sur le monstre remontent à 1850.
En juillet 1890, Thomas Shorts, capitaine du vapeur Jubila, aperçut la grande créature d’au moins 5 mètres, au large de Squally Point. Le monstre avait une énorme tête de bélier, le brave capitaine tenta de capturer le monstre, mais celui-ci s’échappa.
D’autres rencontres suivirent. Les journaux en parlent à profusion. Plusieurs expéditions furent organisées pour capturer le serpent géant, mais sans aucun succès.
En 1949, M. Leslie Kerry et la famille Watson se promenaient dans un bateau, quand leur embarcation fut attaquée par une créature à la forme reptilienne de neuf mètres de long et avec une queue fourchue!
Les vacanciers en réchappent par miracle. D’autres familles qui pique-niquaient sur les rives, ont vu la scène et ont remarqué que le monstre était noir et avait la peau lisse.
En 1959, M. Dick Miller, rédacteur d’une revue très sérieuse et respectable, Vernon Advertiser, faisait une croisière sur le lac en compagnie de sa femme et d’un couple d’amis. À un moment donné, le groupe aperçoit, à environ 75 mètres dans leur sillage, ce qui paraissait être un serpent. La créature avançait vite. Sa tête était à environ 25 centimètres au-dessus de l’eau. Le monstre avait un museau court et cinq bosses. Sa couleur a semblé proche d’un vert très foncé. Dérangée par le bruit du moteur, la créature baissa la tête et s’enfonça peu à peu sous l’eau. Naturellement, la revue a publié le rapport. Le tirage fut épuisé en 10 minutes et on dut réimprimer la publication qui s’est vendue jusqu’à Toronto et aux États-Unis.
En 1968, Ogopogo a essayé d’attraper un groupe de jeunes skieurs nautiques. Miraculeusement, ils se sauvent, eux aussi. La même année, un film a été tourné par M. Art Folden qui a réussi à surprendre le monstre. Son film fit sensation dans le monde. On y voit nettement une créature d’environ 20 mètres de long (notez que la créature est plus grosse à chaque nouvelle apparition, mais il faut bien reconnaître qu’elle semble avoir bon appétit).
Le 3 août 1976, M. Ed Fletcher, de Vancouver prend cinq photos du monstre. On n’y voit presque rien, en raison de la grande distance entre le photographe et l’objet, mais avec un peu d’imagination, on y distingue notre cher Ogopogo.
Des statues d’Ogopogo ont été érigées à plusieurs endroits autour du lac. Nul doute, ces œuvres d’art ont l’objectif pratique de permettre aux habitants et aux touristes de se familiariser avec l’image d’Ogopogo. De cette façon, ils pourront mieux l’identifier le moment venu.
Le nom du monstre marin, Ogopogo, est un palindrome repris du titre de la chanson humoristique anglaise des années 1920 de William Brimblecombe intitulée Ogopogo Song.

Le Mokele-Mbêmbe
En 1776, l'abbé Lievan Bonaventure Proyarte rapporte dans son livre "Histoire du Loango, du Kakonga, et d'autres royaumes d'Afrique", qu'un groupe de missionnaires français avait trouvé dans la forêt, les traces d'un énorme animal inconnu.




Pour vérifier les dires des populations locales, certains savants ont montré aux Pygmées des ouvrages paléontologiques représentant des dinosaures (il faut rappeler que les Pygmées ne connaissent pas l'existence des dinosaures). D'après les témoignages, les scientifiques s'accordent à dire qu'il ne s'agit pas d'un théropode (famille du tyrannosaure) mais d'un sauropode de la famille des brontosaures, animaux gigantesques au long cou qui vivaient à l'ère secondaire, qui sont censés avoir disparus il y a 65 millions d'années.
En 1913-1914, le baron Von Stein zu Lausnitz entendit parler d'une étrange créature dans le Cameroun allemand de l'époque (aujourd'hui le nord du Congo Brazzaville), appelée Mokele-Mbêmbe :
"La créature doit se retirer de préférence au sein des cavernes innombrables, creusées sous la surface de l'eau, dans les berges argileuses. Même en plein jour, il lui arrive cependant de grimper sur la rive pour aller y chercher sa nourriture strictement végétale - trait incompatible avec l'idée selon laquelle il s'agirait d'une légende ! La plante favorite de la bête serait une sorte de liane riveraine à grandes fleurs blanches, qui sécrète un latex capable de fournir du caoutchouc et donne des fruits ressemblant à des pommes. Au bas du Ssômbo, on m'a même montré, à proximité d'un amas de plantes de cette sorte, la prodigieuse trouée que l'animal avait frayée dans l'épais taillis bordant la rivière, afin d'atteindre cette nourriture. [...]"
"L'animal aurait la peau lisse et de couleur gris-brun. Sa taille serait à peu près celle de l'éléphant, celle au moins de l'hippopotame en tout cas. Il semble avoir un long cou flexible et une dent unique, mais très longue, qu'on décrit parfois comme une corne. Quelques-uns parlent aussi d'une très longue queue, aussi puissante que celles des crocodiles. Les pirogues qui s'approchent de la bête seraient attaquées sur-le-champ et renversées, et les occupants en seraient tués, mais non dévorés."
(Bölsche, 1929).
En 1924, le naturaliste anglais John G. Millais recueillit un rapport semblable, datant de la fin du dix-neuvième siècle, sur l'isiququmadevu du sud-ouest de la Zambie actuelle.
En 1977, Daniel Mambombo, professeur d'école à Epéna (nord du Congo), vit surgir de la Likouala-aux-Herbes un étrange animal. Il identifia spontanément avec une représentation de brontosaure tirée d'un ouvrage sur la préhistoire que lui montra l'herpétologiste américain James Powell.
Un autre élément, (c'est d'ailleurs celui-ci qui est le plus pris en compte) est le témoignage en 1983 du zoologiste congolais Marcellin Agnagna. Il affirme avoir vu le Mokele-Mbêmbe dans le lac Tele, à une distance de 250 mètres pendant 20 minutes.

On a très peu entendu parler du Mokele-Mbêmbe avant 1976, année où James Powell, un herpétologiste du Texas, a fait un voyage au Gabon pour étudier les crocodiles qui vivent dans les forêts tropicales. Powell a recueilli des récits du peuple Fang à propos d'un énorme monstre de rivière nommé N'yamala, et un sorcier local du nom de Michael Obang a reconnu dans la photo d'un diplodocus d'un livre de dinosaures le N'yamala qu'il a vu sortir d'un étang de la jungle en 1946. Plus tard, Powel fit part de cette information à Roy P. Mackal, biologiste à l'université de Chicago et vice-président de la société internationale de cryptozoologie. En 1979, Mackal et Powell se sont rendus dans la République du Congo pour étudier le Mokele-Mbêmbe, qui, selon Mackal serait surtout présent dans la région de Likouala, un énorme marais inondé de façon saisonnière et non indiqué sur la plupart des cartes.

Dans un village du nord, nommé Impgondo, situé près de la rivière Oubangui, Mackal et Powell rencontrèrent le pasteur Eugène Thomas de l'Ohio, un missionnaire qui travaillait au Congo depuis 1955. Le pasteur Thomas avait entendu plusieurs récits à propos du Mokele-Mbêmbe, et il a fait venir les témoins qui avaient vu le monstre. Au début, Mackal était réticent à croire qu'il était sur la piste d'un dinosaure vivant. Cependant, chaque témoin était absolument certain que les illustrations de l'apatasaurus et du diplodocus du livre de Mackal sur les dinosaures correspondaient au Mokele-Mbêmbe. Selon Mackal :

"Les témoins décrivirent des animaux mesurant de 15 à 30 pieds; ils parlèrent surtout de la tête, du cou et de la queue. La tête ressemblait à celle d'un serpent, il avait une longue queue étroite et un corps approximativement de la taille d'un éléphant ou au moins de celle d'un hippopotame. Ses pattes étaient courtes, et celles de derrière étaient munies de trois griffes. Les animaux étaient de couleur brun rougeâtre et avaient une crête ressemblant à celle d'un coq, qui partait du dessus de la tête et qui se rendait jusqu'au bas du cou."
Depuis le début du vingtième siècle, on signale au coeur de l'Afrique tropicale un animal décrit ainsi : une petite tête comparée à celle d'un serpent, un long cou comme celui d'un serpent, un corps de la taille d'un éléphant de forêt ou d'un hippopotame, quatre pattes comme des piliers et une queue comparée à celle d'un serpent ou d'un crocodile. La longueur totale est de 8 à 10 mètres.
L'animal, appelé Mokele-Mbêmbe dans le nord du Congo, et nyamala au Gabon, est réputé dangereux par sa force (il peut renverser une pirogue d'un coup de queue), mais exclusivement herbivore : les témoins (notamment des Pygmées dont certains n'avaient encore jamais vu d'Occidental) montrent au Congo comme au Gabon le végétal qu'affectionne l'animal, le malombo (Landolphia). L'animal habite dans la forêt tropicale humide et semble de moeurs plus ou moins aquatique.
Certains scientifiques ont émis l'hypothèse que le Mokele-Mbêmbe, sans être un dinosaure, pourrait être une espèce inconnue de gros lézards, tels les varans. Le plus grand varan vivant est le dragon de Komodo, qui vit en Indonésie et mesure 3 à 4 mètres de long ; pourrait-il en exister une espèce encore plus grande dans les marécages du Likouala ?
Le Mystère demeure...

dimanche 22 janvier 2012

Le Yéti et ses cousins...


Le yéti ou l'abominable homme des neiges

Créature velue, originaire du pays des Sherpas, au nord du Népal (Dans l'Himalaya en gros), "l'abonimable homme des neiges" résiste à la rudess du climat local et reste insaisissable.
L'historique :
- En tibétain, le mot yéti désigne les hommes sauvages. Deux spécimens abatus d'espèces proches ont pu être observés : le premier, par un général soviétique dans une caverne du Pamir (en Asie centrale) en 1925 et le second, ramené du Vietnam par un américain qui l'exiba congelé lors de fêtes forraines à la fin des années 1960. Couverte de poils et très musclée, la créature ressemblait à un Neandertalien au front fuyant et aux arcades proéminentes. La polémique naquit du fait que cette espèce est supposée éteinte depuis 40 000 ans.

- Toujours aperçu mais jamais capturé, le yéti continu de nous faire rêver ! Il apparait dans les légendes népalaises avant d'être mentionné en Europe au cours du XIXème siècle (19 ème). Tantôt agressif avec la force d'un monstre féroce, tantôt humanisé et décrit comme une bête traquée, les avis sont partagé.

Morphologie et indices de présence :
Sa taille oscillerait entre 1,50 m et presque 4 m. Des empreintes profondes laissées dans la neige témoignent et présentent un gros orteil détaché des trois autres doigts de pieds, cas unique chez les primates. On trouve également des excréments et des poils en plus des témoignages oraux.

Le Bigfoot ou Sasquatch


Dans les forêts profondes et solitaires d'Amérique du Nord se cacheraient un primate dressé sur ses pattes arrière : le Bigfoot. Un mythe soutenu par de si nombreux témoignages qu'il en est peut-être réel...

Un peu d'histoire :
Depuis des siècles, les légendes des Indiens d'Amérique du nord évoquent avec insistance une créature à l'allure presque humaine, mais recouverte d'une épaisse toison (couche de poils) et de très grande taille. Appelé Sasquatch, Omah ou Windigo par les Indiens, la bête est devenu le Bigfoot ("grand pied") pour les visages pâles dans les années 1950 : les empreintes de pas gigantesques retrouvées à de multiples reprises dans les forêts du nord-ouest américain lui ont valu ce surnom.

Description :
D'après la plupart des témoignages, le Bigfoot aurait l'allure d'un humanoïde géant, de 2 à 3 mètres de haut, entièrement recouvert de poils bruns ou roux à l'exception de son visage à peu près glabre (sanspoil). Ses bras, giantesques, atteignent la hauteur de ses genoux et ses pieds mesurent jusqu'à 45 centimètres de long si l'on en croit les empreintes retrouvées. Sa tête aux grands yeux, au front large et à l'arrière du crâne pointu, semble posée directement sur ses épaules, sans cou visible. le Bigfoot se cacherait de préférence à l'abri des forêts et des montagnes.

L'histoire de sa découverte :
La première empreinte "officielle" du Bigfoot fut découverte en 1958 par un bûcheron qui travaillait dans la forêt. Au fil des années qui suivirent, de nombreux campeurs ou chasseurs affirmèrent avoir croisé la bête. Certains l'ont même prise en photo : ainsi, en 1967, un certain Roger Patterson décida de partir à la recherche du Bigfoot dans les forêts de l'Etat de Washington. Après une longue quête infructueuse, il arriva dans une clairière au fond de laquellle il aperçut une sorte d'immense gorille se tenant debout... L'animal commença à s'éloigner dès qu'il aperçut Patterson, mais celui-ci eut cependant le temps de le filmer quelques secondes. Canular ou images authentiques ? nul ne peut le dire avec certitude.
De nos jours les témoignages continuent d'affluer...

L'Almasty




L'almasty, également appelé kaptar, est une créature mystérieuse qui habiterait la chaîne montagneuse du Caucase. Il s'agirait d'un homme sauvage dont la description est proche de celle du yéti.
Bien que de nombreux cultivateurs et bergers locaux aient témoigné de sa présence, aucun almasty (vivant ou mort) n'a pu faire l'objet d'observations scientifiques. Sur la base de ces témoignages, certains auteurs le considèrent comme un homme de Néandertal qui aurait survécu jusqu'à aujourd'hui dans les régions reculées des hautes montagnes du Caucase.
Mais pour Yves Coppens, ce n'est pas une hypothèse scientifiquement défendable, les témoignages recueillis orientent plutôt vers un grand primate que vers un humanoïde 1.
Faute de preuve matérielle vérifiée par une analyse d'ADN, la plupart des scientifiques considèrent l'almasty comme une expression du folklore populaire, au même titre que le yéti, le sasquatch et autres cryptides anthropomorphes.

Description :

L'homme sauvage du Caucase a une taille pouvant aller de 1,80m à 2,20m. Son corps est recouvert d'un long pelage brun roussâtre cachant une peau sombre. La tête est protégée par de longs cheveux rèches et abondants. Les yeux émettent une lueur rougeâtre dans l'obscurité signe d'une certaine aptitude à la vision nocturne. Les femelles arborent des seins volumineux mais il y a un faible dismorphisme sexuel. Pendant des siècles l'almasty a bénéficié d'une certaine clémence de la part de la population locale établissant avec elle une relation commensale (c'est à dire une espèce animale qui se nourrit des déchets produits par une autre mais sans causer préjudice à cette dernière) ou il profitait de la nourriture et d'un certain abris, mais les purges staliniennes entre 1944 et 1957 ont rompu cette relation. Depuis le nombre des témoignages a considérablement dimininué et on considère maintenant que l'almasty comme la majorité des hommes sauvages d'Asie centrale .

Recherches et expéditions :

La rumeur de l'existence de l'almasty fut tellement persistante qu'une expédition scientifique franco-russe fut organisée pour le rechercher, sans succès. L'expédition fut organisée par Marie-Jeanne Koffmann, chirurgienne à Moscou et présidente de l'Association de Cryptozoologie de Russie. La mission fut notamment cautionnée par Yves Coppens, professeur au Collège de France, qui la présenta sur TF1 au cours d'une émission de Patrick Sabatier. Au cours des expéditions qu'elle fit dans le Caucase, Marie-Jeanne Koffmann recueillit plus de 500 témoignages visuels, présentés dans la revue Archéologia.
En juin 2008, une expédition formée de Britanniques et du biologiste ukrainien Grigory Panchenko a passé 21 jours dans le Caucase. Ils ont rencontré plusieurs témoins visuels et ont trouvé des selles et environ 20 cheveux sur lesquels une analyse d'ADN pourrait être faite. Dans la zone parcourue, ils estiment entre 100 et 300 le nombre d'almasty présents, qu'ils considèrent comme de probables hominidés peu évolués plutôt que des Néandertaliens. Dans une grotte, ils ont trouvé des débris d'ossements (crâne, os des doigts) qui restent à étudier plus précisément...

La Cryptozoologie

Le terme de cryptozoologie désigne l'étude des animaux dont l'existence même est sujette à caution, tels le « dauphin du Sénégal » ou, plus connus, le yéti et le monstre du Loch Ness, voire des animaux supposés éteints.

Il n'existe aucune formation universitaire de cryptozoologie, aucun institut scientifique officiel. Ainsi, chacun pouvant s'intituler « cryptozoologue », ne doit être considéré ici comme relatif à la cryptozoologie que ce qui se rapporte au travail d'un zoologue intéressé par la cryptozoologie, sous peine de verser dans un catalogue tenant de la légende urbaine, de la mythologie, du sensationnalisme, sans le moindre étayage que seul un zoologue peut opérer.
Le travail des zoologues intéressés par la cryptozoologie consiste d'ailleurs essentiellement à écarter les canulars, selon le zoologue Bernard Heuvelmans qui est considéré comme le créateur de la cryptozoologie, dans son ouvrage de référence Sur la piste des bêtes ignorées bien que « l'invention » du terme ne lui soit pas attribuée.
Si ce manque d'organisation est jugé regrettable, le fait même d'étudier aussi des témoignages (par définition subjectifs) soulève d'emblée la critique de la grande majorité de la communauté scientifique.

Le fantôme de la dame brune de RAYNHAM HALL


Il semblerait qu’un fantôme hante le domaine Raynham Hall en Angleterre.
Voici l’une des photos de fantôme les plus célèbre de l’histoire. Jamais, on a pu prouver
à un trucage quelconque. Elle fut prise dans la hall du château de Raynham en Angleterre, et le fantôme
est nul autre que Lady Dorothy Townshend-Walpole décédée en 1726 . Le fantôme aurait été aperçu à plusieurs reprises dans différents endroits du château , apparemment cherchant ses 5 enfants dans les corridors du château et dérangeant tous ceux qui s’y aventure. Ce fantôme est mieux connu sous le surnom anglais de ; THE BROWN LADY OF RAYMAN HALL (la dame brune de Raynham Hall).

Au tout début du 19e siècle, les descendants de la famille Townshend continuait d’habiter la demeure ancestrale dénommée Raynham Hall.
Le Roi George IV aurait rapporté avoir aperçu l’apparition d’une silhouette féminine habillée dans une robe de satin brune. Selon les dires du Roi, son visage d’une grande pâleur le dévisageait alors qu’il était couché dans son lit.

En 1835, alors qu’il se dirigeait dans sa chambre pour se coucher, le colonel Loftus fut témoin également de la dame en brune , qui apparu et disparu rapidement sous ses yeux. Une semaine plus tard, le colonel rencontra a nouveau le fantôme dans un corridor du château., le fantôme le fixa soudainement, et à sa grande frayeur il nota que ses yeux étaient absents du visage .

Peu de temps après cette dernière apparition au colonel Loftus, un autre visiteur séjourna au château . Le capitaine Frederick Marryat. Ce dernier ayant entendu toute ses rumeurs à propos du fantôme, était excité à l’idée de le croiser dans les corridors. On le fit séjourner dans la chambre où Dorothy fut gardé captive .
Une nuit, alors qu’il déambulait les corridors avec deux de ses amis à la recherche de la dame en brun, et équipé de lanternes le fantôme croisa rapidement le capitaine. Ce dernier remarqua un sourire sinistre dans le visage blanc du fantôme. Il dégaina son fusil rapidement et tira un coup de feu en direction du fantôme. La balle traversa le dos du fantôme pour se loger dans le mur du corridor.

En 1936 le fantôme fut capturé sur pellicule pour la toute première fois. Deux photographes de la revue COUNTRY LIFE , le capitaine Provand et Indre Shira réussirent l’impossible. Alors qu’ils prenaient des clichées pour leur reportages, une silhouette descendit les escaliers du hall principal du château.

La Tour de Londres...


La tour de Londres traîne un lourd passé sanglant derrière elle. De nombreux membres de la famille royale y furent exécuté. On dit qu'entre ses murs, leurs âmes ne pourraient trouver de repos et que leur présence serait souvent observée par les yeux des vivants. La tour de Londres serait selon certains l'un des endroits les plus hanté au monde.

En voici quelques exemples :

La tour de Londres comporte plusieurs tours et ces lieux seraient hantés par différents esprits aperçus à de nombreuses reprises. On reconnaît souvent des membres de la famille royale, mais parfois, les mystérieuses apparitions ne peuvent être associé à aucune histoire du passé. L'un des premier témoignage à avoir été consigné fut noté en 1241 et l'on reconnu le chancelier Thomas Becket.

Assassiné sur ordre du roi Henri II en 1170, Thomas Becket fut aperçut 71 ans après son meurtre. On apercevait parfois son spectre dans la tour portant son nom, la tour de saint Thomas, surtout lorsqu'on y effectuait des modifications. Les constructions furent souvent retardées par des accidents inexplicables ou par les éléments se déchaînant. Un prêtre prétendit avoir aperçut la forme fantomatique de Thomas, frappant une construction de sa croix jusqu'à ce que celle-ci cède.

De toute les tours s'élevant sur le site de la tour de Londres, il y en a une qui porte bien son nom... La "tour sanglante". Une de ses histoires les plus célèbres est celle de Anne Boleyn, décapité en 1536 pour adultère. C'était un spectacle inconnu puisque c'était la première exécution publique d'une reine anglaise. N'ayant aucun cercueil pour elle, Anne Boleyn fut enfermée dans une vielle boite trop petite alors que son corps était enterré à la hâte sous la chapelle saint Peter Ad Vincula. Elle fut aperçut à de nombreuses reprises, errant autour de la chapelle, à l'anniversaire de son exécution, suivit par un cortège de seigneurs et de dames, vêtus des costumes de l'époque.

En 1864, une sentinelle l'aperçut dans une forme blanche voilée par un étrange brouillard. Sa dernière apparition remonte en 1936 alors qu'un garde vit une femme sans tête flotter vers lui dans la tour sanglante. La sentinelle mis le mystérieux inconnu en garde mais ne recevant aucune réponse, il chargea. Le garde fut paralysé par la peur quand il vit sa baïonnette traverser la silhouette.

Margaret Pole, âgé de 70 ans et dernière héritière des Plantagenet, fut décapitée par vengeance, sous ordre du roi Henri VII. Le jour de son exécution, elle refusa de poser sa tête sur le billot et le bourreau dû la poursuivre jusqu'à la tour verte. Il abattit sa hache à de nombreuses reprises sur elle avant qu'elle ne rende l'âme dans d'atroces souffrances. Cette horrible exécution se répéterait chaque année au pied de la tour verte, à la date d'anniversaire de sa mort.

Promise au jeune Edward VI, Lady Jane Grey avait l'honneur de recevoir l'héritage royal. Par contre, le jeune roi mourut et la laissa seule au trône qu'elle ne désirait pas vraiment. Elle fut mariée de force à Guildford Dudley. Grâce à la machination de ses parents, les espoirs de son beau-père furent comblés et elle devint reine. Ce n'était pas son choix mais celui de ses parents. Néanmoins, les deux mariés tombèrent rapidement amoureux l'un de l'autre mais leur paix fut de courte duré, tout comme leur vie. Il ne furent sur le trône que quinze jours avant d'être jeté en prison.

âgé de seulement 15 ans, Lady Jane Grey fut décapité quelques heures après son amoureux.

On raconte que les amants maudits furent tout les deux aperçus dans les corridors de la tour de Londres. Le fantôme de Guilford Dudley viendrait, dit-on, s'asseoir près d'une fenêtre de Beauchamp Tower pour pleurer sa bien-aimée, comme il le fit avant son exécution.

Lady Jane Grey fut aussi aperçue plusieurs fois après sa mort. Sa dernière apparition remonte en 1957, où deux sentinelles aperçurent son fantôme sur le toit de la tour de sel.

21 Mai 1471, alors qu'il priait à sa chapelle privée dans la tour Wakefield, le roi de 39 ans, Henri VI, fut poignardé. Il était un homme très religieux mais faisait un mauvais monarque. 500 ans après sa mort, le roi Henri VI fut revue mainte fois, les mains liées, priant dans cette même chapelle qui l'avait vu mourir.

Douze ans après la mort d'Henri VI, édouard IV (le présumé assassin de Henri VI) mourut, laissant le trône à son fils aîné de douze ans. Le régent Richard, duc de Gloucester, déclara les deux enfants d'édouard IV illégitime, accédant ainsi au trône. Les deux enfants furent enfermés dans la tour et ont ne les revit jamais. La légende raconte que le régent Richard (maintenant devenue Richard III) les fit exécuter dans la tour sanglante. Leurs fantômes erreraient, se tenant la main, dans cette même tour et auraient été aperçus à de nombreuses reprises.

Aventurier et grand savant, Sir Walter Raleigh était très populaire en 1603. C'est pour cette raison qu'il ne fut pas exécuté lorsque le roi Jaques 1er soupçonneux, l'accusa de comploter contre lui. Plutôt que de recevoir un châtiment mortel, il fut fait simple prisonnier. Néanmoins, il gardait une certaine liberté, pouvant vivre avec sa famille et continuer ses expériences scientifiques. Libéré en 1616, il fut à nouveau accusé de trahison en 1618 et cette fois, il n'échappa à la décapitation. On l'aurait vu souvent baigné dans la lumière de la lune sur des rempart proche de ses anciens appartements et ils furent nommé : "La promenade de Raleigh".

On raconte avoir aperçut en ces lieux, plusieurs autres personnages inconnus, des victimes des bourreaux. Des cortèges transportant les corps décapités des suppliés semble chose possible en ces lieux. Parmi ces fantômes inconnus, on cru reconnaître Le Duc de Monmouth, vu sur le chemin reliant Bell et Beauchamp Tower mais les apparitions ne sont pas toutes celle d'êtres humains, des animaux fantômes furent également observés. Pouvant sembler déplacé, ces apparitions n'ont pourtant rien de surprenante puisqu'on trouvait une ménagerie au cour de la tour de Londres et ce, pendant des siècles. La plus populaire est sans doute celle de l'ours Fantôme. Durant l'hiver de 1815, une sentinelle fut surprise par un ours sortant de nul part. En tentant de se défendre, le garde constata que son arme traversait l'animal comme dans l'air, et épouvanté, il perdit conscience.

Il eut le temps de raconter ce qu'il avait aperçut cette nuit là avant de rendre l'âme le jour suivant.

La Maison d'Amityville...


"La maison du diable" comme on l'appellera plus tard, est construite en 1928. De style colonial à trois étages, elle située 112 Ocean Avenue, dans les quartiers aisés d'Amityville (Long Island), non loin de New York.

Le massacre de la famille Defeo

Mercredi 13 Novembre 1974 vers 3 h du matin, Ronald DeFeo Junior finit d'écouter un film appelé Castle Keep. Il prend son fusil 35 mm et assassine son père, sa mère, ses deux frères et deux soeurs pendant qu'ils dorment dans leurs lits. Certains sont tués dans leur sommeil, d'autres auront le temps de se réveiller avant leur assassinat : • Ronald Senior reçoit 2 balles dans le dos. Entrées par le cou, elles traversent ses reins et sa colonne vertébrale. Le coroner indique que la victime a essayé de se déplacer vers le haut avant de mourir. Il a été vivant de quelques secondes à quelques minutes avant de succomber à ses blessures.

• Louise reçoit elle aussi 2 balles : une entre et sort par son poignet gauche. La 2ème détruit son poumon, son diaphragme, sa cage thoracique et son foie. Elle se dirige vers la porte et meurt 10 minutes après la fusillade.

• Mark et John reçoivent des tirs à bout portant (moins de 2 pouces). Les balles pénètrent le coeur, les poumons, le diaphragme et le foie de chaque victime. La moelle épinière de John est touchée sévèrement.

• Allison est réveillée et a le temps de voir la muselière du pistolet avant qu'il reçoivent la balle en plein tête. La balle est sortie, a frappé le mur et a rebondi par terre.

• Dawn à reçu une balle à bout portant également (moins de 3 pouces) dans le bas de son cou. La balle est sortie par l'oreille gauche.

La police croit que les voisins n'ont rien entendu car la maison agissait comme un château fort et aurait assourdi le son. De plus, le chien DeFeo aboyait bruyamment pendant tout le temps des meurtres.
Les DeFeos croyaient très probablement que Ronald DeFeo Jr regardait encore Castle Keep, une émission particulièrement violente et remplie de tirs bruyants. DeFeo Jr. écoutait la télévision très fort, ce qui pourrait expliquer pourquoi les enfants ne se sont pas réveillés. M. et Mme DeFeo ont été les premiers à être assassinés et les enfants n'avaient aucune raison d'être alarmés parce qu'ils dormaient dans leur maison, dans leurs lits. Les autopsies ont révélé que les DeFeos n'ont pas été drogués au dîner et il a été prouvé que Mme DeFeo et Allison se sont réveillées. Ronald DeFeo Jr. déclarera durant son interrogatoire que Dawn s'était réveillée et lui a demandé quel était le problème. Il lui a dit de se recoucher, se qu'elle a fait, et c'est alors qu'il l'a abattue. Il est dur de dire si ce qu'il raconte est vrai car il a créé beaucoup de versions différentes des meurtres pendant l'interrogatoire de la police.

A la demande de l'avocat de la défense, William Weber, une enquête a lieu dans la maison afin d'y trouver une quelconque puissance capable d'avoir influencé le meurtrier. Sans doute renseigné par des spécialistes en parapsychologie, il soupçonne l'existence de champs électromagnétiques dus à des vices de forme ou à des forces telluriques avoisinantes susceptibles de saturer l'environnement en ondes nuisibles à l'équilibre des cellules et à la santé mentale de son client. Cette thèse du champ parapsychologique est avancée par un certain Hans Holzer pour justifier pourquoi aucun des membres de la famille DeFeo n'a été alerté par les coups de feu. Il inhibe les sons et affecte la perception du bruit. Mais de là à entendre des voix d'outre-tombe…

L'affaire est classée par les scientifiques qui refusent d'y voir autre chose qu'une folie meurtrière. Mais la maison étant « tâchée de sang », elle reste inoccupée pendant plusieurs mois malgré son prix attractif : « Quartier résidentiel d'Amityville. Villa style colonial hollandais, 6 chambres à coucher, 1 grand salon, 1 grande salle à manger, une véranda fermée, 3 ½ salles de bains, sous-sol fini, garage 2 voitures, piscine chauffée, et grand hangar à bateaux. Prix demandé : 80.000 dollars ».

Les nouveaux habitants de la maison du diable : Les lutz en 1975-1976

Les Lutz emménagent avec leurs 3 enfants le 18 Décembre 1975. Une de leurs premières actions est de demander à un prêtre de venir bénir la maison. Au cours de la bénédiction, le prêtre dit entendre une voix, forte, semblant venir de nulle part, lui disant simplement : Allez-vous en ! Rapportés par les Lutz eux-mêmes dans une interview qu'ils ont accordée à la télévision History Channel dans le cadre de deux reportages consacrés à la légende d'Amityville (3), les phénomènes envahissent peu à peu leur quotidien.

Ils constatent d'énormes variations de température, la présence de l'odeur écœurante d'un vieux parfum, la formation de tâches noires sur les sanitaires et l'apparition de nuées de mouches malgré la saison hivernale.

George Lutz est tiré de son sommeil chaque nuit vers 3h15. Cauchemar ou réminiscence du massacre des DeFeo qui eut lieu à cette heure ?

Enfin, Mélissa, la cadette, évoque à plusieurs reprises de la présence d'une « amie » du nom de Jodie qui se manifeste à elle en lui assurant qu'elle « resterait toujours dans la maison ». Imagination infantile ou expression du démon ?

Le temps fort de ces manifestations reste la découverte dans la cave d'un réduit qui ne figure sur aucun plan. Même le labrador noir Harry refuse d'approcher cette pièce malodorante aux murs peints en rouge…


Un lion de céramique de plus de 1 m de haut se met à bouger tout seul. On trouve des empreintes de sabots fourchus dans la neige tout autour de la maison. Les traces mènent tout droit à la porte du garage qui avait été arrachée de ses gonds, une prouesse qui aurait nécessité, selon Anson, une force au-delà de celle d'un être humain. Les Lutz arrivèrent rapidement à la conclusion que la maison de leurs rêves était en fait un endroit cauchemardesque hanté par des démons maléfiques.

Kathy Lutz est la première à être véritablement terrorisée par les entités qui hantent la maison. Des bras invisibles l'enlacent; des êtres tentent de la posséder. Toute fuite était impossible, écrivait Anson, elle avait l'impression qu'elle allait mourir. Plus tard, des marques rouges très douloureuses apparurent sur sa peau, comme si elle avait été frappée à coup de tisonnier brûlant. A la même période, George Lutz vit à son tour des événements étranges. Il entend une fanfare défiler dans la maison, avec le bruit des bottes et le son d'instruments à vent. Il ne voit rien mais retrouva les tables, les fauteuils et le canapé poussés contre les murs du salon, comme pour laisser le passage à la cohorte endiablée. Par-dessus le marché, les Lutz affirment avoir eut plusieurs fois la visite d'êtres démoniaques. Ces entités se manifestent sous des formes très variées : immense silhouette encapuchonnée de blanc, démon cornu ou encore cochon diabolique avec deux yeux ardents.

Trop c'est trop

Puis, l'événement le plus extraordinaire, la goutte d'eau qui fit déborder le vase, a lieu une nuit de début Janvier 1976. Cette nuit-là, George n'arrive pas à trouver le sommeil, et après avoir décidé de sortir boire un verre, il se tourna vers sa femme pour la prévenir. A sa grande stupéfaction, elle ne se trouvait plus à ses côtés ; il leva les yeux : elle lévite dans les airs ! Plus horrible encore : lorsqu'il la tira par la manche pour la faire redescendre dans son lit, elle se rida et prend un instant l'apparence d'une vieille femme hideuse.

C'en est trop pour les Lutz. Ils quittent la maison le 14 Janvier 1976. Mais, selon John G. Jones, le Diable, resté lové avec malveillance autour d'elle, la tenant sous sa coupe poursuit la famille dans ses nouvelles demeures. En somme, Amityville, métaphore du démon, est partout.

L'histoire d'Amityville allait être la source d'inspiration de nombreux auteurs de livres d'horreur dans les années 1980s. La plupart se réclament de la pure fiction, mais quelques-uns prétendent raconter la «'vraie» histoire, Toutefois, dans leur grande majorité, les spécialistes du paranormal affirment qu'il n'y a jamais eu d'histoire «vraie». Selon eux. L'affaire des Lutz serait une pure fiction d'un bout à l'autre.

Malgré les preuves écrasantes en faveur d'une supercherie, Ed et Lorraine Warren, de la Société pour la recherche psychique de Nouvelle-Angleterre, soutiennent que le récit des Lutz est authentique. Ils ont enquêté dans la maison avec un groupe de chercheurs après que les Lutz l'eurent abandonnée; ils furent remplis d'un sentiment d'horreur absolue en explorant la propriété. Quand Ed Warren descendit à la cave, il dit avoir vu des milliers de points lumineux, ainsi que des formes sombres qui essayèrent de le précipiter à terre. Et quand Lorraine Warren, qui est médium, tenta d'entrer en communication directe avec les êtres hantant la maison, un membre de l'équipe s'évanouit, deux eurent des palpitations et un autre se sentit tellement mal qu'on dut le faire sortir d'urgence de la maison.

Pour les Warren, le « mal » associé à la maison est bien antérieur à la tuerie perpétrée par DeFeo. D'après leurs investigations, le terrain sur lequel est bâtie la maison fut autrefois un site de détention utilisé par les indiens Montauketts, premiers colons de la région, pour parquer leurs malades mentaux, la maladie mentale étant attribuée à l'action du démon. Plus tard, un sorcier de Salem du nom de John Ketcham, chassé du Massachussetts au 17 ème siècle, vint y trouver refuge pour rendre un culte au Diable. Or, un corps a été exhumé au début du 20 ème siècle à l'emplacement de la propriété. Le cadavre de John Ketcham ou celui d'un chef indien ? Quel qu'il soit, la force qui se manifeste à Amityville lui serait attribuée ! Les esprits inhumains se délectent d'une telle souffrance, affirment les Warren; ils infestent les tombes de ceux qui n'ont pas été enterrés en terre consacrée.

Aokigahara Jukai la forêt maudite...



Aokigahara Jukai est une forêt dite "maudite" située sur le flanc nord-ouest du Mont Fuji. Théâtre de nombreuses morts mystérieuses, suicides ou disparitions, elle serait hantée par des esprits tourmentés qui égarent les promeneurs imprudents. La réputation de cette forêt dense et inextricable est telle que les autorités ont mis en place des procédures pour éviter les drames ou, le cas échéant, pour minimiser les rumeurs. Mais rien n’y fait.

Aokigahara Jukai, ou mer d'arbres, est une forêt qui repose au pied du Mont Fuji et regorge de légendes. Situé dans la préfecture de Yamanashi, le Mont Fuji est le plus haut volcan du Japon (3776 m). Il est aussi réputé pour ses flancs de lacs et de forêts. Localisée sur le versant nord-ouest de la montagne, Aokigahara Jukai en est l’une d’elles, née d’un torrent de lave lors de l’éruption de 864.

En dépit de sa jeune histoire (1 200 ans d’existence) et de sa surface (3 000 hectares), cette forêt profonde est devenue célèbre grâce (ou à cause ?) de ses légendes et des phénomènes mystérieux qui s’y déroulent.

3 000 hectares est une surface qui, normalement, peut être parcourue d’un bout à l’autre en marchant trois ou quatre heures. Et pourtant, dans cette étrange forêt, la tâche est impossible ! La légende dit que ceux qui se sont engagés dans cette mer végétale n’en sont jamais revenu. Aujourd’hui encore, beaucoup de randonneurs perdent leur chemin. Leurs squelettes, ou leurs corps à moitiés dévorés par « quelque chose », sont régulièrement retrouvés dans cette forêt profonde et obscure. Aussi, ceux qui partent à la recherche de ses corps disparus ou pour élucider le mystère de ce lieu se perdent à leur tour. Une vieille légende dit aussi qu’un grand nombre de chauve-souris vivent ici. Elles attaquent les promeneurs et tentent de les étouffer en leur couvrant le visage.

Dans cette forêt, votre boussole perd le nord en vous indiquant le sud ou bien avec un écart de 90 degrés par rapport au nord. D’autres affirment que si vous suivez les indications de votre boussole, vous tournez en rond revenant ainsi à votre point de départ. Des dysfonctionnements provenant des outils de mesure digitaux ont aussi été remarqués.

Aokigahara est si dense que la lumière du soleil y pénètre très difficilement. Nombreux sont ceux qui affirment qu’il vous est impossible de vous diriger avec le soleil, car si vous levez la tête, vous ne voyez qu’une petite parcelle du ciel. A cause de la densité du feuillage, les GPS ne fonctionnent pas, bien que quelques personnes aient prouvé le contraire avec un GPS de meilleure qualité.

Étant très similaire, le paysage crée, dans votre esprit, une distorsion du sens de l’orientation. De ce fait, les différentes directions qui s’offrent à vous se ressemblent toutes. Si vous regardez devant vous pour marcher droit, vous risquez fortement de glisser et de chuter : le sol paraît solide alors qu’en vérité, il se trouve souvent à 30 ou 40 cm plus bas, sous un tapis de racines et de feuilles, lesquelles créent une toile donnant l’illusion d’un terrain parfaitement plat. Aussi, cette forêt possède de nombreuses cavités énormes et profondes, formées par la nature même de sa base qui n’est que lave. Ces crevasses ouvrent largement leurs gueules sous la mousse et la végétation. Il est très facile de chuter à l’intérieur et de vous retrouver avec horreur, face à des squelettes qui moisissent là depuis fort longtemps. Aucune issue, ni aucun sauvetage n’est possible si vous êtes seul. Notons que d’étranges cavernes se terrent dans le sol de cette forêt. Plus étonnant, elles sont prisonnières des glaces y compris l’été.

D’autres, prisonniers de cet "enfer vert", ont marché pendant des jours, croisant ici et là quelques squelettes et cadavres en décomposition, et sont morts affamés avant de servir de repas aux animaux sauvages. Tous ces phénomènes ainsi que d’autres faits divers ont créé toutes sortes de légendes à propos de monstres, de gobelins et de fantômes qui hantent cette forêt.

En 1959, l’écrivain japonais Seicho Matsumoto a écrit une nouvelle à propos de cette "magnifique forêt abandonnée et sauvage", en affirmant qu’elle est l’endroit idéal pour mourir en secret et sans que l’on puisse retrouver votre corps. Cette nouvelle du nom de Kuroi Jukai (forêt noire) fut publiée dans un magazine. La nouvelle se termine avec le suicide des amants dans cette sombre forêt. Après la publication de cette nouvelle, l’endroit est devenu le lieu le plus réputé pour se suicider. Régulièrement, les corps sans vie de lecteurs suicidaires sont retrouvés là.

En 1993, un autre écrivain japonais du nom de Wataru Tsutsumi a publié un livre éloquent : Le guide complet du suicide. Ce livre décrit les différentes façons de se suicider ainsi que les risques liés à chaque méthode. Dans cet ouvrage, il recommande de se pendre par la corde. Il indique quelques endroits bien précis de cette forêt maudite. Selon lui, ce sont les meilleurs endroits pour éviter que l’on retrouve les corps, et ainsi conclure à une mystérieuse disparition. Après la publication de l’ouvrage, le taux de suicide augmenta fortement au Japon et beaucoup de ceux qui réussirent leur ultime voyage furent précisément retrouvés dans cette forêt aux endroits indiqués, avec à leurs pieds, l’ouvrage de Wataru Tsutsumi. Quelques-uns s’étaient pendus en position assise alors que d’autres étaient allongés ! Il y a quelques années, la photo d’un pendu fut publiée dans un journal. Il n’avait plus de jambes. Celles-ci furent, semble-t-il, dévorées par des animaux sauvages.

À cause d’un taux d’humidité élevé ainsi qu’à sa nombreuse population d’oiseaux et d’animaux sauvages, les corps pourrissent très rapidement au cœur de ce labyrinthe végétal. Un rapport fait mention d’une femme retrouvée trois jours après sa mort. Son corps dévoré par les fourmis et différents rongeurs fut totalement méconnaissable. Beaucoup de personnes venant camper ici et faisant face à d’effroyables scènes mettent ces terribles images sur internet, pour informer la population de la réalité de ces faits et ainsi dissuader les futurs candidats au suicide.

Quoi qu’il en soit, il y a aujourd’hui des randonnées organisées dans cette sinistre forêt permettant d’apprécier la nature sauvage. Les gens apprécient l’atmosphère mystérieuse de ce site et la beauté de la nature. Cependant, de nombreux panneaux signalétiques cloués sur les arbres par les autorités, portent d’étonnant messages tel que : "S’il vous plaît, contactez la police avant de décider de mourir. S’il vous plait, reconsidérez votre geste". De plus, ces panneaux vous avertissent de ne jamais sortir des chemins balisés, même sur une courte distance. Car vous pourriez chuter dans une crevasse, ou bien vous pourriez tomber nez-à-nez avec un squelette ou un cadavre fraîchement mort. Enfin, il vous sera extrêmement difficile de revenir sur vos pas. De nombreuses personnes commettent l’acte fatal à quelques mètres des chemins de randonnées. Pourquoi ? Par le fait qu’il est difficile de pénétrer en profondeur dans cette forêt. A certains endroits, une heure est nécessaire pour faire 300 mètres ! La végétation est tellement dense et épaisse qu’il suffit de s’enfoncer de quelques kilomètres pour prendre conscience qu’aucun son ne peut être entendu, exceptés les bruits de la forêt et le chant du vent…

Des sources affirment qu’il ne se passe rien de mystérieux dans cet enfer végétal et que les instruments de mesure (boussole, GPS…) fonctionnent parfaitement. Mais en vérité, beaucoup disent que ce discours des autorités n’est qu’une campagne de désinformation ayant pour but d’éloigner les curieux et de faire baisser le taux de suicide.

Malheureusement, le nombre de suicides en ce lieu damné semble augmenter d’année en année. En moyenne, entre 30 et 50 cadavres sont retrouvés chaque année. Certaines années, le score est malheureusement plus élevé. Voici quelques chiffres :

1998 : Découverte de 73 cadavres
1999 : 68
2000 : 59
2001 : 59
2002 : 78
2003 : 105


Certains de ces corps ont pour origine le suicide alors que d’autres sont simplement des égarés. Il y a des groupes de personnes qui nettoient régulièrement la forêt de ses squelettes et de ses cadavres. Pour ne pas se perdre, ces groupes spécialisés utilisent des rubans plastiques. Ces rubans sont déposés sur les chemins qu’ils empruntent, leur permettant, à la manière du Petit Poucet, de revenir à leur point de départ. Ces rubans sont ensuite laissés en place. Beaucoup de personnes ont réussi à sortir de ce labyrinthe et ont eu la vie sauve grâce à ces rubans. Si vous empruntez la nationale N139 qui longe la funeste forêt, vous pourrez noter la présence de nombreux rubans indiquant qu’un corps fut retrouvé là.

Aux abords de la forêt, se trouve un camp d’entraînement militaire. Certains de ses militaires conseillent de ne pas regarder la forêt durant les entraînements car elle semble vous attirer inexorablement entre ses griffes.

De nombreuses histoires font aussi mention de personnes qui furent témoins d’effroyables apparitions fantomatiques. Sans doute les esprits des suicidés qui seraient condamnés à hanter la sinistre forêt pour l’éternité. Aokigahara est considéré comme le site le plus hanté du Japon. On dit de ce lieu qu’il est le purgatoire pour les Yurei, des fantômes vengeurs qui ont été arrachés à la vie trop tôt par une mort violente tels que le suicide ou le meurtre. Ils hurlent leur souffrance à travers le vent. Les spiritualistes affirment que les arbres eux-mêmes sont imprégnés d’une énergie malveillante accumulés depuis des siècles. Cette énergie provient naturellement de tous ces malheureux qui se sont donné la mort. Ils feront tout pour vous attirer car ils ne veulent pas que vous repartiez de ce lieu maudit.

Malgré tout, des gardes forestiers y travaillent. Parfois, ils tombent sur des cadavres en état de décomposition, pendus ou partiellement dévorés par les animaux. Dans ce cas, les hommes sont dans l’obligation de les ramener au grand refuge d'Aokigahara. Les cadavres sont entreposés dans une pièce spéciale réservée à cet usage. Dans cette petite pièce, il y a deux lits : un lit pour le cadavre et un autre pour le garde forestier. Cela peut vous surprendre, mais il est dit que si le cadavre est laissé seul dans la pièce, l’effroyable Yurei qui l’habite criera toute la nuit et se déplacera dans les dortoirs du centre par l’intermédiaire du corps sans vie. Pour désigner quel garde forestier veillera sur le corps et dormira dans la pièce mortuaire, un tirage au sort est effectué.

En 2004, le réalisateur japonais Takimoto Tomoyuki réalise Ki No Umi (Mer d’arbres), dont la forêt maudite est justement le sujet (titre anglais : Jyukai, The Sea of Trees Behind Mont Fuji). L’histoire raconte le destin de quatre personnes qui décident de se suicider à Aokigahara. Durant les repérages du film, Takimoto raconta aux journalistes qu’il trouva un portefeuille contenant 370 000 yen (environ 2 300 euros) laissant ainsi supposer qu'Aokigahara est un terrain propice pour la chasse aux trésors. D’autres ont affirmé avoir trouvé des cartes de crédit et des permis de conduire.

Pourquoi les candidats au suicide sont-ils plus nombreux dans cette forêt chaque jour ? Pourquoi attire-t-elle autant de curieux ? Que ce passe-t-il réellement au cœur de ce labyrinthe végétal ? Quel est le mystère qui repose au cœur de cet océan de verdure ? Enfin, pourquoi Aokigahara fascine-t-elle toujours autant ?

Focus sur...

La salle 502


L’une des légendes les plus célèbres concernant le sanatorium de Waverly Hills est celle de la salle 502 situé au 5e étage de l’établissement. Il y a beaucoup de variations, mais la légende raconte la tragédie de deux infirmières qui s’y seraient suicidés. La salle 502 a attirée bon nombre de curieux et de chercheurs. Certains d’entre eux ont vu des ombres se déplacer par les fenêtres et entendu des voix dirent “Sortez”...
Il y a beaucoup de spéculations au sujet du 5e étage, mais ce qu’on sait, c’est que des patients atteint de tuberculose et mentalement aliènés on séjournés à cette étage. En 1928, l’infirmière principale a été retrouvé pendu au plafond de la salle 502. Selon de plus amples recherches, elle était agé de 29 ans, était célibatère et enceinte. Sa mort fut classé comme étant un suicide par le bureau du coroner du comté et ce ne fut pas la dernière tragédie à avoir lieu à cet endroit ….
En 1932, une autre infirmière qui était en charge de la salle 502 a sauté par la fenêtre et fut retrouvé morte. Rien à l’époque n’explique pourquoi elle a fait ça, ni aucune preuve n’a été faite pour savoir si elle avait sauté ou que quelqu’un l’avait poussé.
Plusieurs personnes disent avoir vu l’apparition fantômatique d’une jeune infirmière à cette étage, d’autres ont également rapporté que la salle 502, une fois qu’on était l’intérieur, on pouvait ressentir un sentiment de désespoir. Plusieurs ombres ont été également apperçus et des voix entendues.

Lieux Hantés à travers le monde...

Le sanatorium de Waverly Hills


Construit en 1910 dans le but de trouver un remède contre la tuberculose. Durant des décennies, médecins et chirurgiens ressemblant plus à des apprentis sorciers qu’à de vrais professionnels du corps médical, expérimentaient des « traitements » sur des patients de tout âge. Un tunnel fût construit pour y déposer les 63.000 personnes qui trouvèrent la mort dans cet établissement. Des membres du personnel se suicidèrent, des patients y perdirent la raison. A présent, certains disent qu’il y aurait une importante activité paranormale. L’équipe de TAPS y à même fait des recherches en 2006 et 2007 pour vérifier la véracité de ces rumeurs.
Bien qu’ayant le sentiment que ce documentaire (pourtant très bien réalisé) n’a que pour bût que de faire de la publicité autour de cette terrible tragédie pour les gardiens de cet établissement et pour le réalisateur du film « The Death Tunnel » (et où certaines photos ne me paraissent pas assez crédibles à mon gout sauf peut-être les EVP), cela reste tout de même un sujet intéressant et intriguant basé sur des faits et témoignages réels par des témoins, gardiens, d’anciens patients et employés.

Vous avez peut-être déja entendu parler du sanatorium de Waverly Hills. Lieu considéré comme étant l’un des endroits les plus hantés des États-Unis, lieu qui a tellement été hanté par des décennies de souffrance.
Situé près de Louisville aux États-Unis dans l’état du Kentucky, le sanatorium de Waverly Hills ouvre ses portes en 1910 afin de traiter les victimes souffrant de la tuberculose, maladie également connu sous le nom de consomption. Ce qui était au début qu’un petit hôpital est rapidement devenu en 1924 un grand établissement avec plus de 400 salles et un équipement des plus moderne. L’établissement ferme ses portes en 1961, mais les ouvrent à nouveau en 1962 comme centre généiatrique de Woodhaven, pour les refermer difinitivement en 1982, laissant place aux vendalismes.

De nombreuses histoires circulent au sujet des mauvais traitements infligés aux patients. Ceux qui y étaient internés n’avaient aucune possibilité de sortir pour cause de quarantaine, environ 63 000 personnes y sont mortent après avoir été victime d’expériences supposément médicales, des expériences tel la thoracoplastie qui consistait à scier les côtes pour que les poumons se dillatent. Seulement 5% des patients survivaient à ce traitement sanglant

Plus de 63 000 patients sont décédés entre les murs du sanatarium et chaque fois qu’un décès était constaté, pour ne pas que les autres patients se doutent de quelque chose, les morts étaient emmenés de nuit dans ce que les gens de la région ont appellé “Le tunel de la mort”. C’était une longue galerie qui courait sur plus de 150 mètres sous l’hôpital et qui menait vers une voie ferrée ou les corps étaient emportés.
Après sa fermeture en 1961, toutes sortes de faits mystérieux ont été racontés par ceux qui avaient été visiter le sanatorium. Les ombres, les lumières volantes et les chuchotements font partie de ses récits.
Il parrait que tôt le matin, si vous marchez près de la caféteria, vous pouvez sentir le faible arôme des petits déjeuners et ce malgré qu’aucun repas ne fut servis depuis 1982. On peut également appercevoir l’esprit d’un homme habillé de blanc erré dans la caféteria ou la cuisine. Personne ne sait de qui il s’agit, mais certains pensent qu’il est l’esprit d’un vieil employé de Waverly qui aurait contracté la tuberculose et en est mort.
Des ombres furent apperçu par de nombreuses personnes. L’ombre d’un homme a été vu et même photographié dans la cour avant du bâtiment.
Le fantôme d’une vielle femme fut souvent apperçu dans l’entrée principale. Parfois elle reste près de la porte avant. Elle aurait les mains et les jambes enchaînées, ses poignets et ses chevilles saignent. Elle pleure qu’on vienne l’aider et puis elle disparait.
Beaucoup de gens ont vue une petite fille au troisième étage qui est connue sous le nom de Mary. Certains disent qu’elle joue avec une balle, d’autre on seulement entendu la balle rebondir sur le plancher ou dégringolant l’escalier. Ce rebondissement de balle fut aussi attribué à un petit garçon. Un homme dit qu’il a déja rencontré une petite fille qui n’avait pas l’air normal. Elle disait qu’elle n’avait pas de yeux. L’homme fut tellement terrifié qu’il n’a plus jamais voulu retourner à l’intérieur du sanatorium.
Sur le toit de l’hôpital, certains ont entendu des enfants chanter cette contine « Ring around the Rosy « . Mais pourquoi des esprits d’enfants seraient-ils sur le toit ? Lorsque l’hôpital était en service, les enfants aux prises avec la tuberculose étaient placé sur le toit pour les traitements d’heliotherapie, ce qui consistait à les exposer aux rayons supposément curatif du soleil.
Le quatrième étage est considéré comme étant le secteur le plus effrayant et le plus actif de l’hôpital. Des gens y ont vu des ombres, des apparitions de personnes marchant dans les corridors et entendu des portes claquer fréquemment, et ce pour aucune raison apparente.
Un garde a vu une tête floter dans une des salles tard la nuit. Il a crié et s’est précipité en bas ou il est sorti en trombe. Il n’est plus jamais revenu au sanatorium. Beaucoup de gens ont également rapporté avoir vu des lumières dans le bâtiment la nuit, bien qu’il n’y est plus d’électricité depuis plusieurs années. Un garde de sécurité a par le passé rapporté qu’il avait vu une télévision jouant dans l’une des chambres du troisième étage. De l’extérieur, il pouvait voir ce qui lui semblait être le reflet de la télévision. Lorsqu’il est arrivé en haut pour vérifier, il n’y avait absolument rien.
Des bruits de pas, des bruits de chuchottements et des bruits de portes qui se referment furent entendu par plusieurs dans le hall de Waverly. Même des P.V.E furent enregistré…